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jeudi 14 juillet 2016

L'APW Bloquée par les luttes politiques en vue des élections prochaines.

Encore une fois, les réunions de l'Assemblée Populaire de la Wilaya (APW) n’arrivent pas à se tenir, ce mercredi 13 juillet 2016, dans la sérénité pour voter le budget complémentaire. Une situation qui dure depuis mars, à cause du malentendu sur la restructuration de ce conseil départemental. 
Les prochaines élections, programmées pour 2017 à l'ensemble du pays, alimentent d'ores-et-déjà les clivages et les luttes partisanes de mauvaise augure. Depuis l'annonce au niveau gouvernemental des préparatifs aux prochains votes, les élus s'adonnent à des entraves de leur mission pour s'imposer par les vieilles de cooptation, voire de truands politisés.
Les membres qui, motivés par les préoccupations de résoudre les problèmes de la localité qui ont un impact direct sur la vie des citoyens, m'ont contacté et m'ont fourni les éclairages nécessaires, afin de rédiger ce sujet. 
Comptant sur la contribution de tous ceux qui peuvent débloquer cette inertie, ces élus espèrent atteindre une solution qui avancerait le bon fonctionnement de leur assemblée. Les membres qui alimentent la discorde mettent au pied du mur Djoudi Abdelfetah, le président. Ce dernier est désarmé devant ces obstacles.  
Il, selon des rapports de la presse, dit que le budget a été approuvé par 18 voix, alors que celles qui le rejettent sont 16. Ce qui, selon la réglementation, le rend utilisable et ces chapitres exécutables.
La vie locale dépend davantage des APC, mais la représentation déconcentrée au niveau de des assemblées "wilayalres" tient aussi un rôle déterminant pour coordonner et dynamiser les actions en lien direct avec la population.
Si le budget est encore plus important que la désignation de la commune la plus propre, il doit attendre que revienne la stabilité. C'est à l'image des institutions du pays dont les règlements sont ambigus et ne répondent pas au besoin de fonctionnement.
En effet pour instituer le bureau de l'APW, c'est au niveau des commissions que s'opèrent les désignations des dirigeants qui siégeront à la tête de l'APW. Mais comme les mésententes qui étaient latentes par le passé, sont maintenant au grand jour. Et elles ont un un effet sur les réunions, les votes et la cohésion de cette institution d'élus.     
  
Route nationale N5 traversant le centre de la ville de BBA
Par BehinddeTravail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=27536047

jeudi 22 août 2013

Cadre de vie : main dans la main aux cités 100 et 126 logts, route de Médjana.

Si des choses peuvent être contagieuses, ou bien il est souhaitable qu'elles le soient, c'est bien les actes citoyens. Les gestes qu'on peut vraiment sublimer, ce sont ceux accomplis, par des habitants de petites ensembles immobiliers, et où collectivement on agit afin d'améliorer le cadre de vie

Les 2 exemples, des cités 100 et 126 logements situés sur la route de Médjana, sont maintenant au devant. Avec le souhait que d'autres quartiers s'y mettent à imiter une telle propreté de l'environnement. Pour qu'on marche avec plaisir et pour que les enfants ressentent qu'on leur indique les meilleurs gestes.

Bien sûr, les autorités sont aussi tenues d'alléger leurs missions et charges, en encourageant les initiatives qui les aident. Et où la propreté et la beauté battent l'amertume et le désordre.

Les opérations « Mon quartier n’est pas une poubelle » sont vraiment un modèle réjouissant de sensibilisation pour une civilité digne des populations évoluées et prêtes à s'améliorer socialement. Mobiliser les habitants, c'est d'abord la communion et la convivialité entre voisins.

Le volontariat pour le nettoyage des entrées d’immeuble, l'entretien des espaces verts et la réalisation de petits travaux de réparation sur des équipements des lieux partagées au niveau de la chaussée, sont les meilleures nouvelles que peuvent avoir les habitants de toute la ville de Bord-Bou-Arréridj. Des voisins mettent la main dans la main et se retrouvent dans la joie de faire du bien.

Si les citoyens ont fait le pas, ils attendent que l'éclairage public soit remis en état et suivi d'un maintien. Et que les propriétaires, qui sont un service public, des bâtiments assument le ravalement de peinture les façades, ainsi que la réparation des rares retouches de dégradations qui demandent des équipements pour les atteindre.

Une chose peut préserver ces modestes actions de citoyens espérant vivre dans la propreté, c'est la réalisation d'une enceinte clôturant leurs cités, des 100 et 106 situés en plein centre-ville. Afin que les intrusions soient dirigées sur des accès, limitant ainsi les atteintes venant de l'extérieur. Et donnant ainsi le trait de résidences immobilières, une surqualification qui répondrait à une volonté d'une jeunesse qui a montré à chaque fois son bon sens... pour son immense plaisir !