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samedi 29 août 2020

Dans quel état de salubrité est réellement Bordj-Bou-Arreridj ?

Les habitants des 180 logements, ex Dallas, sur la route de Medjana demandent au wali (préfet) de trouver une solution aux problèmes qu'ils vivent, notamment d'hygiène.

Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI ! 26 août 2020

Le désastre où est la population est de la responsabilité des élus comme l'APC. Mais d'abord les administrés doivent, par dignité, nettoyer leur cadre de vie et environnement. C'est eux qui ont jeté cette saleté, dans cette vidéo.

C'est très convivial et fraternel de coopérer et de préserver leur cité propre. Pour eux et pour leurs enfants, le défaut est de regarder et de ne pas trouver la solution. Puis demander à l'administration d'être propre. 

Le logement dans doit être conforme à un mode de vie fondé sur l'hygiène et le respect, mais ce n'est plus le cas.

Entre hantise, haine et décadence, les administrés sont livrés à la gabegie. La mauvaise gestion des collectivités est une catastrophe en Algérie et la population est désarmée. Alors que la démagogie des responsables à tous les niveaux s'adonne à des protocoles religieux pour masquer les fausses solutions.

La société est désarticulée avec les responsables incompétents. Le problème n'est pas dans l'architecture ou l'urbanisme. Les habitants sont violents et ne peuvent être rapprochés, ni se regrouper sans se porter des bastonnades et des coups. Ils ne peuvent être ensemble et pas mettre la main dans la main pour réparer les choses.

Un peuple qui ne peut rien faire se donne à la religion, sans apporter des solutions à son existence.

mercredi 26 août 2020

Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI !

Bien souvent, les institutions bureaucratisées se fanent et deviennent inactives. Alors les citoyens ripostent, pour donner vie et priorité à la réalisation de ce qui devait être fait par la mairie. 

Merci à Mr Bendjoual. Il redonne un espoir qui dégage le progrès, aux habitants de sa cité. Une idée de grandeur qui existait en Algérie. Que l'incompétente bureaucratie a effacé. 

Un autre sujet : Cadre de vie : main dans la main aux cités 100 et 126 logts, route de Médjana.

Ce qui est du rôle de l'Etat et des appareils des localités se réalise quand il y a de la compétence et du savoir-faire, chez les responsables. 

Ce qui améliore le cadre de vie de tous, mérite du respect.

Voilà, ici un administré de Bordj qui fait un travail associatif et écologique admirable et de grande importance. 

Toute la communauté doit, à cet engagé pour reboiser les artères de la localités, une aide obligée et naturelle.

Bon courage. Je reviendrai pour vénérer ton action qui vaut tous les prix et les respects !

mercredi 20 mai 2020

Cluster COVID-19 de BBA

Le décès du Dr Wafa Boudissa a provoqué un vif émoi et un tollé sur les réseaux sociaux du Web. Son cas a été largement connu à travers le pays qui est livré à la gabegie. Et plus gravement le secteur de la santé, dont le management suppose qu'il est entre les mains de la pire incompétence, souffre d'une fuite des médecins et de pratiques approximatives qui sont partout répandues.
La population de Bordj avoisine les 800 000 âmes, dont un peu du quart se concentre au chef-lieu de wilaya. La maladie qui s'est déclenchée depuis la Chine et qui s'est éparpillée à l'ensemble des agglomérations et bourgades de la 34é wilaya d'Algérie, ne connaît pas de confins tant locaux qu'internationaux. Il suffit que les conditions s'y prêtent.

Est-ce-qu'il y a une explication rationnelle à l'arrivée du SRAS-Cov-2, le virus à l'origine de l'épidémie mondialisée du COVID-19, à Bordj ? Oui. La collectivité est à cheval entre les principales régions du pays, de même qu'elle est fréquentée pour ses activités économiques. Et la mobilité de sa population alimente la propagation.

Dès le début, Bordj s'est fait connaître avec les premiers cas. J'avais déjà diffusé l'alerte sur ce sujet, dès le 4 mars que vous pouvez conter ICI. Depuis beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. 

Les décès d'un infirmier, 
Kamel Maâref, âgé de 51 ans, du service de chirurgie à l’hôpital Bouzidi-Lakhdar à B.B.A. puis du Dr Boudissa, à Ras-El-Oued, secouent les esprits.

La jeune médecin était prioritaire pour bénéficier d’un congé exceptionnel ou même de son simple droit. Elle était enceinte de huit mois, le jour où elle rendu l'âme, le 15 mai.

Ses consoeurs et collègues lui avaient signifiaient un appui pour un repos qui d'abord son droit, avant qu'elle ait bien démontré fatalement quelle le méritait. Puis avaient fustigé, devant les caméras, les responsables de ce décès et exigé leur départ. 

Âgée de 28 ans,elle était employée aux urgences chirurgicales de l’établissement public hospitalier de Ras El Oued de la wilaya de Bord Bou Arreridj, à 200 kilomètres au sud-est d’Alger.
BBA en Algérie et Ras-El-oued dans la wilaya.Map of Algeria highlighting Bordj Bou ArréridjDZ 34 Ras El Oued.svg

jeudi 22 août 2013

Cadre de vie : main dans la main aux cités 100 et 126 logts, route de Médjana.

Si des choses peuvent être contagieuses, ou bien il est souhaitable qu'elles le soient, c'est bien les actes citoyens. Les gestes qu'on peut vraiment sublimer, ce sont ceux accomplis, par des habitants de petites ensembles immobiliers, et où collectivement on agit afin d'améliorer le cadre de vie

Les 2 exemples, des cités 100 et 126 logements situés sur la route de Médjana, sont maintenant au devant. Avec le souhait que d'autres quartiers s'y mettent à imiter une telle propreté de l'environnement. Pour qu'on marche avec plaisir et pour que les enfants ressentent qu'on leur indique les meilleurs gestes.

Bien sûr, les autorités sont aussi tenues d'alléger leurs missions et charges, en encourageant les initiatives qui les aident. Et où la propreté et la beauté battent l'amertume et le désordre.

Les opérations « Mon quartier n’est pas une poubelle » sont vraiment un modèle réjouissant de sensibilisation pour une civilité digne des populations évoluées et prêtes à s'améliorer socialement. Mobiliser les habitants, c'est d'abord la communion et la convivialité entre voisins.

Le volontariat pour le nettoyage des entrées d’immeuble, l'entretien des espaces verts et la réalisation de petits travaux de réparation sur des équipements des lieux partagées au niveau de la chaussée, sont les meilleures nouvelles que peuvent avoir les habitants de toute la ville de Bord-Bou-Arréridj. Des voisins mettent la main dans la main et se retrouvent dans la joie de faire du bien.

Si les citoyens ont fait le pas, ils attendent que l'éclairage public soit remis en état et suivi d'un maintien. Et que les propriétaires, qui sont un service public, des bâtiments assument le ravalement de peinture les façades, ainsi que la réparation des rares retouches de dégradations qui demandent des équipements pour les atteindre.

Une chose peut préserver ces modestes actions de citoyens espérant vivre dans la propreté, c'est la réalisation d'une enceinte clôturant leurs cités, des 100 et 106 situés en plein centre-ville. Afin que les intrusions soient dirigées sur des accès, limitant ainsi les atteintes venant de l'extérieur. Et donnant ainsi le trait de résidences immobilières, une surqualification qui répondrait à une volonté d'une jeunesse qui a montré à chaque fois son bon sens... pour son immense plaisir !