


Les habitants des 180 logements, ex Dallas, sur la route de Medjana demandent au wali (préfet) de trouver une solution aux problèmes qu'ils vivent, notamment d'hygiène.
Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI ! 26 août 2020
Le désastre où est la population est de la responsabilité des élus comme l'APC. Mais d'abord les administrés doivent, par dignité, nettoyer leur cadre de vie et environnement. C'est eux qui ont jeté cette saleté, dans cette vidéo.
C'est très convivial et fraternel de coopérer et de préserver leur cité propre. Pour eux et pour leurs enfants, le défaut est de regarder et de ne pas trouver la solution. Puis demander à l'administration d'être propre.
Le logement dans doit être conforme à un mode de vie fondé sur l'hygiène et le respect, mais ce n'est plus le cas.
Entre hantise, haine et décadence, les administrés sont livrés à la gabegie. La mauvaise gestion des collectivités est une catastrophe en Algérie et la population est désarmée. Alors que la démagogie des responsables à tous les niveaux s'adonne à des protocoles religieux pour masquer les fausses solutions.
La société est désarticulée avec les responsables incompétents. Le problème n'est pas dans l'architecture ou l'urbanisme. Les habitants sont violents et ne peuvent être rapprochés, ni se regrouper sans se porter des bastonnades et des coups. Ils ne peuvent être ensemble et pas mettre la main dans la main pour réparer les choses.
Un peuple qui ne peut rien faire se donne à la religion, sans apporter des solutions à son existence.
L'arbitraire en Algérie abuse "d'ennemi à la patrie" collé à
toute parole libre. Des citoyens sont envoyés en prison pour des accusations
fallacieuses. Comme regroupement non-autorisé, ou appel à faire de telles
manifestations, ainsi atteinte à la sûreté nationale, sont de vraies atteintes
aux libertés démocratiques et citoyennes.
Tel est le cas de Cherif Ghassoul, sportif d'esprit et engagé à entraîner
des jeunes et former son propre physique, par l'haltérophilie et la body-garde
qu'il pratique depuis des années.
Donc c'est dans une indifférence intenable que ce prisonnier d'opinion de
Bordj-Bou-Arreridj, est mis aux arrêts depuis le 24 août 2019, (certaines
sources disent depuis le 26 septembre 2019) et sera jugé. Son procès se tiendra
mercredi le 13 mai, auprès de la section criminelle de la ville où il habite.
Alors que les correspondants locaux de la presse ne montrent pas leur
communication, tellement ils demeurent dans la criarde médiocrité du mépris.
- Un autre sujet sur ce blog, sur le HIRAK : Hirak à Bordj : 51è Vendredi femmes & jeunes à l'assaut.