L'opération s'étale sur un mois, d'après une source de l'entreprise même qui est basée principalement à Bordj-Bou-Arreridj.
Actus de BBA-34 & sa région. Infos à utilité sociale pour citoyenneté moderne & juste.
mardi 23 mars 2021
كوندور : تطلق عملية تصدير بقيمة 1.3 مليون دولار نحو تونس وليبيا ¤¤=¤¤ Exportation appréciable de Condor Algérie vers la Libye et la Tunisie ...
L'opération s'étale sur un mois, d'après une source de l'entreprise même qui est basée principalement à Bordj-Bou-Arreridj.
vendredi 19 mars 2021
Que démontre l'industrialisation de Bordj-Bou-Arreridj comme émergence économique ?
Je suis tombé sur une thèse universitaire de Bordj-Bou-Arreridj, reçue le 25 décembre 2020 par l'établissement et publiée en janvier 2021, que je considère intéressante à la lumière de l'industrialisation que connait Bordj-Bou-Arreridj.
Elle est du travail du professeur Rahim Hocine, du Département des sciences économiques, de Université Bordj Bou-Arreridj, Algérie. J'ai déjà publié des sujets du genre à couvrir l'activité économique...
Elle explore et analyse la politique algérienne dans le domaine de l'appui à la mise en place de micro-entreprises. Dans ce cas la maison d'entrepreneuriat de l'Université de Bordj Bou-Arreridj qui devait être en lien avec le tissu économique de la région, devait nous instruire sur ce qui est réalisé. La fiabilité des possibilités créées ainsi que les perspectives d'avenir devaient être au moins comprises.
Depuis environ deux décennies, les pouvoirs publics algériens ont adopté un ensemble de mécanismes et de mesures pour soutenir le secteur des entreprises. Alors ce travail universitaire tente de dresser le rapprochement entre les formations et ces unités qui naissent sur la base de la politique de l'emploi et de la satisfaction des besoins nationaux.
Textes législatifs et réglementaires favorables, décisions administratives facilitantes les procédures ainsi que des exemptions comme incitations financières ont poussé à la création de nombreuses entreprises au niveau national. Et Bordj-Bou-Arreridj est une wilaya gagnante dans ce domaine.
Ce travail de recherche est concentré sur l'expérience d'accompagnement des étudiants universitaires pour lancer leurs projets. Chose ou bien expérience qui est dite établie au niveau de certaines universités algériennes, dans le but de dispenser des cours de formation aux étudiants intéressés sur la façon de créer et de gérer des projets. Ainsi que l'orientation de leur esprit d'entreprise. Cette étude prend comme exemple la Maison contractante de l'Université de al-Bashir Brahimi, de Borj Bou Arreridj.
à suivre
mardi 1 décembre 2020
Suite du procès, Sellal et Ouyahia écopent de 5 ans et amende dans l'octroi d'avantages à Condor.
Ces avantages dans la réalisation d’un centre dédié aux brûlés à Skikda, par la société « Travocovia », une des filiales du Groupe Condor, qui travaille dans la réalisation, construction de bâtiments, de projets. "Brûlés" concerne les malades atteints gravement d'incendies.
L’abus de fonction lors de la conclusion de plusieurs marchés avec l’opérateur public de téléphonie mobile Mobilis pour l’acquisition de téléphones portables et tablettes auprès du groupe Condor, est aussi indiqué dans ce jugement.
Le verdict du tribunal de Sidi M’hamed (Alger) est tombé. Avec la condamnation des anciens Premiers ministres Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal à des peines respectives de cinq ans de prison ferme.
Ouyahia et Sellal sont accusés d’octroi de privilèges injustifiés au Groupe Condor et ses filiales, dont des facilitations pour la réalisation d’une usine de fabrication de médicaments « GP Pharma » dans la nouvelle ville de Sidi Abdallah, de la wilaya d'Alger.
Laquelle entité de fabrication de médicaments était gérée par l’ancien ministre de la Poste et des Technologies, Moussa Benhamadi, décédé en juillet dernier à la prison d’El Harrach, des suites de la Covid-19.
mercredi 26 août 2020
Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI !
Bien souvent, les institutions bureaucratisées se fanent et deviennent inactives. Alors les citoyens ripostent, pour donner vie et priorité à la réalisation de ce qui devait être fait par la mairie.
Merci à Mr Bendjoual. Il redonne un espoir qui dégage le progrès, aux habitants de sa cité. Une idée de grandeur qui existait en Algérie. Que l'incompétente bureaucratie a effacé.
Un autre sujet : Cadre de vie : main dans la main aux cités 100 et 126 logts, route de Médjana.
Ce qui est du rôle de l'Etat et des appareils des localités se réalise quand il y a de la compétence et du savoir-faire, chez les responsables.
Ce qui améliore le cadre de vie de tous, mérite du respect.
Voilà, ici un administré de Bordj qui fait un travail associatif et écologique admirable et de grande importance.
Toute la communauté doit, à cet engagé pour reboiser les artères de la localités, une aide obligée et naturelle.
Bon courage. Je reviendrai pour vénérer ton action qui vaut tous les prix et les respects !
samedi 18 juillet 2020
Décès de Moussa Benhamadi, les parvenus d'une industrie de prédateurs à mentalité rurale (ou bédouine).
Ancien ministre des télécommunications, sous le règne de Bouteflika, précisément lors de l'illégal et inconstitutionnel 4ème mandat, Moussa Benhamadi est décédé. Il est aussi député du faux-FLN , alors que son frère, impliqué dans les affaires de corruption est aussi élu avec le RND. Il a perdu la vie dans la soirée du 17 juillet 2020, du COVID-19 à l'hôpital Mustapha Bacha d'Alger, où il a été transféré depuis 4 jours.
- A étudié au lycée Mohamed Kerouani à Sétif.
- Puis à l'université d'Alger
- Programmeur informatique à Centre National de Traitement des Données
- Ingénieur informatique à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
- Président du Centre de Comptabilité à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
- Chef de service informatique à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
- Chef de Département Informatique à Commissariat au Energies Nouvelles
- Directeur général à cerist
- Président Directeur Général à Algérie Télécom
- Ministre des PTT
dimanche 15 janvier 2017
Le foncier préalable à l'activité économique
La place du foncier dans l'investissement économique est primordiale. Sans le terrain il est inimaginable d'implanter l'industrie ou d'exploiter les ressources disponibles. Selon une dépêche de l'APS, l'année 2016 a été fructueuse en matière de gestion des sols servant d'assiettes aux activités, la tâche de régulation et de suivi a traité 767 dossiers répartis à travers le territoire de la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj.
Sur la base de la feuille de route initiée lors du conclave du 12 novembre 2016, regroupant gouvernement et Walis, consacrée au développement local et axée sur l'efficience de l'opérabilité du service public en direction des entrepreneurs. En effet, la question du guichet unique, basé au niveau du cabinet du Wali, où sont traitées les demandes des investisseurs, nécessitait une dynamique qui allège les procédures bureaucratiques. Le double volet des réformes de la fiscalité locale et de la promotion de l'investissement devait être réinitialisé.
Pour Bordj-Bou-Arréridj, la disponibilité du foncier devait répondre à l'attellement des détenteurs de projets. Si la simplification des démarches administratives est encourageante, le tourisme n'est pas de premier ordre, comme le préconisait la rencontre de l'exécutif gouvernemental avec les resposnables régionaux. Cette localité s'engage davantage sur la production manufacturière et industrielle que de service de plaisance. La localité des hauts plateaux, malgré ses somptueux paysages et ses richesses culturelles indéniablement ancrées au pays profond, le tourisme n'est sa première vocation.
Il fallait donc résoudre les aléas du foncier industriel qui s'expose à des demandes fictives qui ne débouchent pas sur la création d'entreprises. En effet les spéculateurs de l'immobilier qui se polarisent sur l'accaparement des terrains se voient donc éliminer, comme ce fut les cas de 90 pseudos investisseurs mis en demeure pour renouveler leurs dossiers en exprimant leur renoncement. Ou bien des 6.5 hectares restés nus après leur attribution, ce qui a engendré leur récupération lors de l'année écoulée. Dans ce même sens, une soixantaine dotations de terrains sont exposées à l'absence des bénéficiaires qui sont désormais de régulariser leurs demandes ayant bénéficié d'offres restées inachevées.
La mobilisation des zones d'activité a aussi connu pendant l'année 2016 la création de 5 permis de segmentation ont été délivrés dans la cadre d'une plus large répartition à travers le territoire de la Wilaya. Respectivement par ordre d'importance, voici les points géographiques disponibles pour accueillir des investissements.
- A El-Hammadia (sud de Bordj), Mechta Fatima 382 hectares ont été désignés pour recevoir des projets.
- 134 hectares à Ras-El-Oued (la plus importante daïra à l'est de Bordj), auprès de la bourgade de R'mael
- 189 hectares à El-Euch (sud de Bordj) répartis en deux sites.
- 160 hectares à Mansourah (ouest de Bordj).
Le bilan du foncier pour l'investissement privé de l'année 2016 se présente avec le même élan qu'on connait à Bordj. Au total 379 projets ont été approuvés, dont 327 sont bénéficiaires de terrains et 31 concessions destinées à l'exploitation gisements naturels. Les capacités disponibles sont actuellement de 1235 hectares avec l'ouverture d'une nouveau site à El-Achir, auprès du lieu dit "Essafia" où seront aménagés 380 hectares. Cette localité à une dizaine de kilomètres à l'ouest de Bordj est connue son attraction sur les passagers routiers et le commerce de la viande.
samedi 24 décembre 2016
Chakib Khelil ne devait pas faire ça à Bordj.
Et où s'écrit une sorte de projet éveillé aux dignités de l’ère sans raideur que toute l’Algérie s’accomplit volontairement à s'en inspirer à pleines fois…
Par ses moult facettes d'homme venu d’Amérique n'ayant pas donné le satisfecit de sa gestion de la Sonatrach. Outre l'opacité qui couvre tout son parcours reste à élucider à l'opinion nationale. Depuis des mois, qu'il slalome dans un périple à travers des régions du pays, dans le but de devenir président après Bouteflika, voire de se laver des poursuites judiciaires, cet héritier en vue de s'emparer du pouvoir vient de signer son camouflet. De son passage aux affaires entachées des scandales où la rente nationale énergétique a été détournée et dissimulée, il y a des souvenirs… A consulter dans ces deux sujets publiés par le site-Web que dirige le meneur du blog Projet BBA.
- 8 mai 2016
2- Violence à l’encontre des Algériens : une justice défaillante pour le cas Khelil
3 avril 2016
L’échec du développement, dont les responsables ne sont pas mystérieux, a largement entamé les espérances des générations qui s’exilent, se font exclure quand elles restent dans leur patrie et se suicident en plein mer, pour atteindre des terres où elles croient concrétiser des rêves inassouvis sur place...
Les dirigeants qui n’ont rien réalisé de magique pour libérer le pays de sa dépendance à plus de 200% du pétrole, n'ont jamais observé B.B.A. avec ses reluisantes qualités. Chadli désigna son beau-frère Wali puis Belaïd Abdeslam rameuta son neveu au même poste, pour ne citer que les cas marquants.
Oui, c’est de cette ville, à défaut qu’aucuns des autres Algériens ne peuvent porter l’affront aux criminels économiques et aux politiciens qui refusent à une relève éclairée de prendre le flambeau légué lumineux par les martyrs, que doit s'accompagner la naissance de la fin du "rester-sur-place" que subit l’Algérie.
Il se retrouve que maintenant un tel fiel dégoulinant d'arrogance envers des jeunes journalistes qui certainement sauront, dès ce fait, bien interroger des lendemains plus radieux. Et d'inscrire la critique libre et corrective qui fait évoluer, sur leur carnet de déranger encore ces grands cadres plus malfaisants que faisant découvrir le meilleur destin collectif.
Non Khelil ne devait pas faire ça, aux jeunes talents de la presse, confrontés à l’apprentissage de communiquer le respect aux plus larges auditoires qu’atteignent avec les canaux médias dits puissants. Encore plus vastes que les parterres qui applaudissent au premier venu, la couverture que voulaient et offraient ces journalistes visiblement craintifs, hésitants, frêles et balbutiants, a le mérite de donner à réfléchir. Ces jeunes détiennent maintenant la prérogative de gêner les discours trompeurs, même s'ils ne sont pas des cris venant du firmament... Ils révoltent les pierres inertes et insolubles dans la lave de notre fièvre de vouloir élever l'Algérie parmi les grandes nations et rendant heureux son humble peuple !
jeudi 28 juillet 2016
Industrie, croissance et émergence, Bordj-Bou-Arreridj pionnière des localités algériennes
Hommage aux bâtisseurs et aux créateurs de richesses ! Bonne route à tous les entrepreneurs de Bordj !
Il convient aussi de prendre connaissance de la dernière actualité qui a trait à la crédibilité de certains opérateurs qui s'inscrivent comme porteurs de projets, mais tergiversent dans la réalisation de leurs investissements. Ils étaient 180 à être avertis par le Wali (préfet) en décembre 2015 pour le retard dans le commencement des travaux de constructions de leurs usines, ils sont désormais 356, donc le double, le 27 juillet 2016, à être mis en demeure pour "non-concrétisation de projets", selon les services de la wilaya qui ont fixé la liste des inscris visés par cet avertissement.
Un comité spécial, où sont représentés plusieurs secteurs d'activité, a été chargé du suivi des projets validés. Il a mené des investigations en ouvrant les dossiers, cas par cas. Son constat est on peut plus clair. 309 investisseurs doivent réactualiser, auprès de la direction de l’industrie et des mines, leurs démarches. Elles sont obsolètes pour certains, irrégulières pour d'autres, incomplètes pour nombreux cas et restées juste au stade de déclarations quant à quelques situations.
La première catégorie est interpellée pour mettre à jour les dossiers d’investissements. Alors 47 bénéficiaires de foncier industriel accusent un retard de production, c'est-à-dire les travaux de construction des bâtis sur les terrains dont ils ont été bénéficiaires ont peu avancé. Parmi ces derniers, il n'y a même ceux qui n'ont aucun commencement de chantier. Il est certainement vrai que la complexité des aspects techniques auxquels sont destinées leurs usines se confronte à un manque de maîtrise des bâtiments spécifiques. Cependant, il existe des opérateurs qui lorgnent pour détourner, comme revendre les lots de terrains obtenus, la destination de ce foncier consacré à l'industrie.
- la plus grande briqueterie d’Afrique avec 260.000 tonnes
- usine de fabrication de géo-membrane qui sert à assurer l’étanchéité des barrages et autres centres d’enfouissement des déchets, 4e au monde et unique sur le continent noir
- et l'unité de fabrication de panneaux solaires, première en Afrique à concevoir les cellules photovoltaïques qui la différencie de la gigantesque installation de captation du Maroc qui devait s'approvisionner de sa production, dans le cas d'une amélioration concurrentielle des capacités à générer l'énergie.
- A mes lecteurs de Bordj-Bou-Arréridj, je vous propose de prendre connaissance de cette action des artistes de Bordj-Bou-Arreridj, unique du genre en Algérie : ICI.
- Je promets aussi, un sujet sur l'agriculture, domaine et univers dans lequel je me suis spécialisé depuis des années en publiant des articles sur la presse écrite algérienne : ICI
- Et enfin l'électronique et la High-tech qui est aussi ma passion, voire ma profession de la com. numérique, aura son sujet prochainement.
- Prenez connaissance des entreprises de Bordj-Bou-Arreridj figurant dans l'annuaire international KOMPASS ICI