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lundi 14 juin 2021

Les militants du Hirak, modèles à la jeunesse de BBA.


Maintenant que la fourberie du vote est passée, il m'est un devoir de vous présenter les détenus de la région de Bordj-Bou-Arreridj, l'un des berceau du mouvement Hirak qui détrôné l'usurpateur et potentat Bouteflika. Le travail demeure pour chasser ses larbins et le système qui a ruiné le pays.

D'abord c'est pour leur rendre hommage que ce modeste sujet est mis en ligne. Et pour leur adresser le message de notre solidarité qui est entière, vive et toujours active à leur égard. En leur disant : vous êtes des modèles de et à la jeunesse de B.B.A. 

Qui sont les jeunes détenus du Hirak à Bordj-Bou-Arreridj ? Cette modeste réponse est pour tous ceux qui se demandent ou sont tenus d'exprimer. Nombreuses personnes de Bordj sont questionnées à ce sujet de qui sont les  militants du Hirak et qui sont les détenus. 

Mohamed Touahria
Il a été condamné, ce 19 Janvier 2021, à 1 an de prison ferme avec mandat de dépôt assorti d'une amende (dans une nouvelle affaire) pour :" incitation à attroupement non armé, atteinte à la personne du président de la République, outrage à corps constitué".
Pour rappel, Mohamed Touahria a été arrêté le Jeudi 24 Septembre 2020 et placé sous mandat de dépôt le 28 Septembre 2020 pour une affaire non lié au hirak dont il est condamné plus tard à 2 ans de prison ferme.
Ce qui fait de lui, le plus ancien détenu d'opinion de Bordj-Bou-Arréridj.

A part le 1er, Mohamed Touahria, de cette liste qui a son paragraphe, certains ont été à Bordj Bou Arreridj le vendredi 14 mai 2021.
Le 16 mai 2021, 5 manifestants sont présentés devant le procureur du tribunal de Ras El Oued qui a décidé de la comparution immédiate. Ils ont été condamnés à 1 an de prison ferme avec mandat de dépôt. Il s'agit de : 

Azeddine Talehi 

Biyadha Elhocine

Nabil Belkhiri

Bourahla Hamoudi
Abderrahmane Meziti
Nasser Chekkal 
Abdelkader Missaoui 

Hassan Zebiri

Hassan a été interpellé le 2 décembre 2020. Il a été accusé d'atteinte à la personne du président de la République, outrage à corps constitué, incitation à attroupement, publications de fausses informations pouvant porter atteinte à l’ordre public. Il a été condamné à 6 mois de prison ferme et une amende de 50 000 da, le 27 décembre 2020. Une condamnation confirmée en appel, le 1er mars 2021. Libéré en février.


Treize autres manifestants ont été condamnés à “un (01) de prison ferme” ce dimanche, par le juge d'instruction prés le tribunal de Ras El Oued (Bordj Bou Arreridj), “avec mandat de dépôt pour cinq d'entre eux, en l'occurence, Azeddine Talehi, Biyadha Elhocine, Nabil Belkhiri, Bourahla Hamoudi et Abderrahmane Meziti”, a indiqué le Comité national pour la libération des détenus (CNLD).
Le procureur de la République a requis un an de prison ferme avec mandat de dépôt contre les 13 prévenus, lors d'un procès en comparution immédiate.

samedi 29 août 2020

Dans quel état de salubrité est réellement Bordj-Bou-Arreridj ?

Les habitants des 180 logements, ex Dallas, sur la route de Medjana demandent au wali (préfet) de trouver une solution aux problèmes qu'ils vivent, notamment d'hygiène.

Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI ! 26 août 2020

Le désastre où est la population est de la responsabilité des élus comme l'APC. Mais d'abord les administrés doivent, par dignité, nettoyer leur cadre de vie et environnement. C'est eux qui ont jeté cette saleté, dans cette vidéo.

C'est très convivial et fraternel de coopérer et de préserver leur cité propre. Pour eux et pour leurs enfants, le défaut est de regarder et de ne pas trouver la solution. Puis demander à l'administration d'être propre. 

Le logement dans doit être conforme à un mode de vie fondé sur l'hygiène et le respect, mais ce n'est plus le cas.

Entre hantise, haine et décadence, les administrés sont livrés à la gabegie. La mauvaise gestion des collectivités est une catastrophe en Algérie et la population est désarmée. Alors que la démagogie des responsables à tous les niveaux s'adonne à des protocoles religieux pour masquer les fausses solutions.

La société est désarticulée avec les responsables incompétents. Le problème n'est pas dans l'architecture ou l'urbanisme. Les habitants sont violents et ne peuvent être rapprochés, ni se regrouper sans se porter des bastonnades et des coups. Ils ne peuvent être ensemble et pas mettre la main dans la main pour réparer les choses.

Un peuple qui ne peut rien faire se donne à la religion, sans apporter des solutions à son existence.

mercredi 26 août 2020

Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI !

Bien souvent, les institutions bureaucratisées se fanent et deviennent inactives. Alors les citoyens ripostent, pour donner vie et priorité à la réalisation de ce qui devait être fait par la mairie. 

Merci à Mr Bendjoual. Il redonne un espoir qui dégage le progrès, aux habitants de sa cité. Une idée de grandeur qui existait en Algérie. Que l'incompétente bureaucratie a effacé. 

Un autre sujet : Cadre de vie : main dans la main aux cités 100 et 126 logts, route de Médjana.

Ce qui est du rôle de l'Etat et des appareils des localités se réalise quand il y a de la compétence et du savoir-faire, chez les responsables. 

Ce qui améliore le cadre de vie de tous, mérite du respect.

Voilà, ici un administré de Bordj qui fait un travail associatif et écologique admirable et de grande importance. 

Toute la communauté doit, à cet engagé pour reboiser les artères de la localités, une aide obligée et naturelle.

Bon courage. Je reviendrai pour vénérer ton action qui vaut tous les prix et les respects !

jeudi 14 mai 2020

Arbitraire subi par Chérif Ghassoul à BBA

D'emblée, notons qu'il est emprisonné depuis quasiment plus de 8 mois, sans que la justice ait tranché pour son cas. Chérif Ghassoul a rendez-vous, encore une fois pour prolonger ses angoisses, avec les juges, auprès du tribunal de Bordj-Bou-Arréridj, le 21 mai.


Le précédent article publié sur Projet-BBA, que vous pouvez consulter ICI avait annoncé la tenue d'une instance le mai 13 mai. 
Mais voilà que nous apprenons de source bien vérifiée et entrecoupée avec d'autres émanations de l'information, que son affaire connait un nouveau report, au 21 de ce mois de mai.


Le procès de Chérif Ghassoul de Bordj-Bou-Arréridj est vraiment un cas d'école, en matière de dégradation des droits des citoyens.
Ce qui fait redouter, qu'à l'avenir ce genre d'arbitraire va s'accentuer à Bordj, à l'instar de toute l'Algérie. 
Et ce qui passe partout dans d'autres régions et villes du pays démontre clairement qu'un climat d'injustice est encore plus grave qu'au temps de l'ancien régime.
Ce prisonnier d'opinion est présenté devant le tribunal criminel, sans que ne soit vraiment expliquée sa situation qui traîne entre les mains de magistrats sans crédibilité, au regard de la lenteur.

#برج_بعريريج: تأجيل محاكمة معتقل الرأي "شريف غسول" ليوم الخميس 21 ماي 2020 أمام قسم الجنح لمحكمة برج بعريريج ، للذكر تم إعتقاله يوم السبت 24 اوت 2019 ، منذ ذلك اليوم و هو متواجد في الحبس المؤقت اي اكثر من 8 أشهر .

lundi 11 mai 2020

L'athlète Cherif Gassoul sera jugé mercredi prochain à BBA.

En réalité, il n'y a plus d'opinion libre en Algérie. De même qu'il n'y a plus de presse, ou de journalistes, vraiment habités de la bonne conscience professionnelle pour étayer la vérité. Sinon être indépendant des rouages et autres chapelles qui ont ruiné ce grand pays, il y le média qui sert et aide le citoyen qui le regarde avec espoir.

Y compris à Bordj, où personnellement en plein terrorisme au temps de la "décennie noire" (1989/2000) j'avais apporté toutes les vérités, avec mes articles sur Alger-Républicain, El-Watan et Liberté. J'avais comblé un déficit pour la couverture de beaucoup de faits importants. Comme ce jugement de cet administré victime d'injustice, sans que l'on parle... 
Chérif Ghassoul de BBA
- Précédent article : Le 16 avril 2020, 14 citoyens de B.B.A. seront jugés pour le Hirak.

L'arbitraire en Algérie abuse "d'ennemi à la patrie" collé à toute parole libre. Des citoyens sont envoyés en prison pour des accusations fallacieuses. Comme regroupement non-autorisé, ou appel à faire de telles manifestations, ainsi atteinte à la sûreté nationale, sont de vraies atteintes aux libertés démocratiques et citoyennes. 

Tel est le cas de Cherif Ghassoul, sportif d'esprit et engagé à entraîner des jeunes et former son propre physique, par l'haltérophilie et la body-garde qu'il pratique depuis des années. 

Donc c'est dans une indifférence intenable que ce prisonnier d'opinion de Bordj-Bou-Arreridj, est mis aux arrêts depuis le 24 août 2019, (certaines sources disent depuis le 26 septembre 2019) et sera jugé. Son procès se tiendra mercredi le 13 mai, auprès de la section criminelle de la ville où il habite. Alors que les correspondants locaux de la presse ne montrent pas leur communication, tellement ils demeurent dans la criarde médiocrité du mépris.

- Un autre sujet sur ce blog, sur le HIRAK : Hirak à Bordj : 51è Vendredi femmes & jeunes à l'assaut.

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Cherif Ghassoul est passé par la clinique pénitentiaire, dans un état de santé détérioré. Après une grève de la faim pendant plusieurs jours, il a perdu des kilogrammes, lui l'athlète. Une dégradation physique, suite à un recours, comme un coût de couteau car illégal, présenté par le procureur de la République, pour 7 accusations. Pour que quatre crimes et les trois délits, lui soient imputées, dans la parodie de justice de la pire manière avec laquelle s'illustrent le ministre Zeghmati et le pouvoir de Tebboune...  

Finalement seuls 2 délits, qui ne sont pas clairement déterminés, lui sont reprochés avec une insupportable approximation d'arbitraire. La programmation du procès du pour le mercredi 13 mai 2020 devant la section des crimes du tribunal de Bordj Bou arreridj, est très attendue par la population. Il est en prison temporaire depuis plus de 8 mois. 

Voici : Iyed, Mohamed et Anis, les 3 enfants de Chérif.

samedi 11 avril 2020

Le 16 avril 2020, 14 citoyens de B.B.A. seront jugés pour le Hirak.

Le jugement aura lieu le 16 avril 2020. Il ne faut pas qu'échappe à l'intention des habitants de cette localité, cette promulgation de sentence. Elle sera donnée à des justiciables qui n'ont rien à se reprocher. Au nom de la république et du peuple, notamment pour le compte des habitants de l'entité territoriale que beaucoup de ses enfants la servent d'une manière ou d'une autre, leur condamnation ne devait être faite avec l'excès de zèle et telle une mince affaire.

Vous trouverez à la fin de cet article les noms (en langue arabe) et quelques photos des concernés. 

Devenue un symbole dans le développement économique, telle même une capitale de l'industrie au niveau du Maghreb, Bordj-Bou-Arréridj est aussi connu, comme une pouponnière des révoltés et autres rebelles qui adoptent massivement les causes justes et qui ne manquent pas de significations.
On ne manquera jamais de rappeler que cette bourgade dut le principal fief historique de la mémorielle insurrection d'El-Mokrani en 1871. Et dont nous le 150ème anniversaire l'année prochaine.  
A cheval entre l'est et l'ouest ainsi que pour le nord et le sud de l'Algérie, BBA fut une école dans le parcours du mouvement nationale. 
Lors de la guerre de libération, pour laquelle ont été enfantés des hommes et des femmes, dont les noms sont gravés dans le marbre des plus forts et reluisant de l'Histoire nationale, l'empreinte est marquante. L'agglomération fut lieu d'escale de Si Larbi Benmhidi, d'Ibn-Badis, de Messali El-hadj, de Mohamed Boudiaf et de bien des personnages d'envergure inégalée dans les cumuls d'un pays allant au rayonnement, comme un épicentre des indépendances.
Je citerai, pour la gente féminine, Aïcha Hadad et Mouny Zioui qui, cette dernière, nous a quitté en 2019 à Alger, soeur du martyr Mohamed qui a donné l'appellation d'un stade de la capitale Alger. 
Et parmi les hommes, Abdelmadjid Aouchiche ou bien Chawki Mostefaï qui, même natif de M'sila, revient à cette ville dont l'urbanité édifie bien ses propres et belles légendes.
Jusqu'aux événements du Hirak dont le long souffle a parcouru les années 2019 et 2020, Bordj-Bou-Arreridj, à travers les actions de ses habitants, participe à la vie nationale. 
Et j'appréhende qu'à foison, dans les réseaux sociaux du Web, les discussions sont d'une richesse inouïe via les clubs et groupes du rapprochement qui se réalise entre les citoyens. 
Ils seront donc devant des magistrats, ces 14 citoyens qui seront jugés leur opinion assoiffée de liberté. Le jeudi 16 avril 2020 devant la section des crimes du tribunal de Bordj Bou Arreridj, l'affaire pour laquelle ont été déposés relève du mouvement de grande ampleur, auquel la mobilisation revendique une autre Algérie. Plus moderne, plus juste et plus mieux gérée.

 
       
 Les articles de POPULI-SCOOP sur le HIRAK ICI
Une autre histoire du Hirak, à Bordj. ICI
Et une autre, tout au début en mars 2019. ICI
1 شمس الدين لعلامي المدعو براهيم

2 عباش عبد الرزاق
3 عزالدين بن بلخير
4 بوطبة عزالدين
5عبد الحق شماني
6 توفيق ميسور
7 يازيد ميسور
8 زايد عبد النور
9 بلفروم نصر الدين
10 زايدي خير الدين
11 ناصر اربوش
12 بلال بورحلي
13 صيد خميسي
14-مقراني منير
15- مسينيسا

mardi 18 février 2020

Ryamonde Peschard épousa une cause et des principes...

Raymonde Peschard avait 30 ans au moment où elle est tombée au champ d'honneur pour que se libère l'Algérie du joug colonial. Le 26 novembre 1957 au nord-ouest de Bord-Bou-Arreridj, au pied de Djebel Tafartast qui coiffe Medjana, le fief d'El-Mokrani, elle a été abattue d'une balle à la tête.


Collage 
Raymonde Peschard
Oeuvre de Mustapha Boutadjine

L'écriture de cet article est motivée par le retrait de la plaque commémorative à Constantine, citant cette militante de la cause algérienne.
Son souvenir était officialisé avec une plaque commémorative à Constantine. La plaque qui la rappelle vient d'être retirée de son emplacement sur un mur de la capitale l'est algérien, ville qui l'a vue naître. Il était connu qu'en 1963, une artère a été baptisée de son reluisant nom : Raymonde Peschard. 

Parmi des dizaines, même des centaines, de combattants d'origine européenne qui ont participé à la guerre de libération, son martyre fut au nord de Medjana.
 Un autre article sur la mémoire de Bordj-Bou-Arreridj.
Son parcours a été plusieurs fois retracé par des témoignages. Des historiens et des articles de presse l'ont relaté. Moi-même dans l'un de mes blogs, dont la plate-forme a fermé, j'avais publié un sujet où j'ai retracé son militantisme de femme, de communiste et de moudjahida.

Son engagement, politique et social, est des plus significatif, dans le glorieux tumulte mémoriel qui déboucha sue la libération de son pays. J'insisterai sur sa patrie, pour des raisons évidentes obscurantistes...

Cette fille d'Alger est d'une famille de prolétaires français qui adoptèrent une identité, une nation et surtout les principes de justice...




Repérée par l’armée française à Draa Errih, sur le djebel Tafertas, un chaînon des Bibans, à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Medjana (Bordj Bou Arréridj), elle fut capturée avec Rachid Belhocine, médecin, Arezki Oukmanou et Redjouani, étudiant en mathématiques.
Le groupe était sans armes. Rachid Belhocine, Arezki Oukmanou et Redjouani furent sauvagement tués. Témoin de la scène, elle réagit. Elle trouva « le courage de déverser sur les soldats un flot d’injures, les traitant de sauvages, de barbares et de nazis », écrit Djoudi Attoumi dans son livre-témoin, « Avoir vingt ans au maquis ».
Ligotée, couchée, le visage contre le sol, elle reçut une balle de revolver dans la nuque, tirée à bout portant par un officier, sur ordre du colonel Buis. Dans un communiqué lu à la radio et diffusé par la presse, Robert Lacoste, ministre résident, présenta sa mort comme un titre de gloire pour l’armée française.
Raymonde Peschard venait de boucler ses trente ans. Elle naquit le 15 septembre 1927, à Saint Eugène (Bologhine). Son père était cheminot. Elle grandit à Constantine chez son oncle Edouard qui l’accueillit à la mort de sa mère. Elle reçut une bonne instruction. Elle travailla comme infirmière dans un lycée. Elle assuma ensuite les fonctions d’assistante sociale à l’EGA. Elle doit son éveil politique à l’oncle Edouard, membre du Parti communiste algérien (P.C.A), très estimé de la population constantinoise, témoigne son camarade de lutte, William Sportisse.
Les années 1940-1950 marquent son engagement dans les luttes sociales et politiques. En 1950, elle mobilisa les femmes constantinoises dans la lutte contre les arrestations des membres de l’Organisation Spéciale (O.S), branche armée du parti MTLD.

Militante du PCA, elle était au Comité de lutte contre la répression aux côtés de Cheikh Hamani et de Réda Houhou, dirigeants locaux de l’Association des Oulémas.
Fichée par la police politique (P.R.G), elle fut expulsée du département de Constantine, en 1955. Après un bref passage en France puis à Oran, elle regagna Alger où elle trouva un emploi d’assistance sociale à l’E.G.A (Sonelgaz).
Elle rejoignit les Combattants de la Libération puis intégra le FLN, suite aux accords PCA-FLN conclus en juillet 1956.

Raymonde prit le chemin du maquis de la wilaya 3 au mois de mars 1957 où elle demanda à faire partie d’un groupe de combat. Les paysannes remarquèrent sa beauté et sa bonté et lui donnèrent le nom de Taouès.
A l’indépendance ses cendres furent transférées au cimetière de Constantine où elle repose auprès de son oncle Edouard, décédé en 1949.
En 1963, la République Algérienne reconnaissante donna son nom à une grande artère de la ville de Constantine.
Cette article est inspiré du travail de Mohamed Rebah,Chercheur en histoire.
Auteur : « Des Chemins et des Hommes »

https://www.huffpostmaghreb.com/mohamed-rebah/raymonde-peschard-elle-es_b_5428129.html

dimanche 29 avril 2018

El-Mokrani, guide d'une révolte de 250 tribus...

Cet article est produit juste pour aborder avec un questionnement, improbable mais utile, adressé à la mémoire de la région de Bordj-Bou-Arreridj : comment est mort, le 5 mai , le chantre de l'insurrection de 1871 en Algérie ? 

En outre, il est plus que nécessaire d'insister sur la descendance berbère de ce rebelle, originaire d'une dynastie des "Amokrane" de la "Kalaâ des Beni-Abbès".  

Ce dernier est un ancien État d'Afrique du Nord et fief de principauté ayant, désigné dans l'historiographie espagnole comme « reino de Labes »...

Cheikh El-Bachagha El-Hadj Mohamed El-Mokrani
Cheikh El-Bachagha El-Hadj Mohamed El-Mokrani
La tombée au champ d'honneur de Cheikh El-Bachagha El-Hadj Mohamed El-Mokrani, en 1871, reste une énigme. Il est indéniablement important de traduire en postulats possible le cas de son décès. En effet cette page de la mémoire nationale reste encore à élucider.

Malgré que beaucoup d'historiens s'accordent sur la version de sa mort à oued Soufflat, sans que des indications sur les circonstances de son décès ne soient précisées, l'horaire ou bien l'emplacement exacte méritent d'être déterminés.

Les trois hypothèses qui suscitent cet article sont :
1 - Lors d'une bataille dans les reliefs des portes de fer, où les troupes colonialistes avaient vécus des embuscades des guerriers qui étaient sous ses ordres, il a été touché. Puis il a été transféré jusqu'à oued Soufflat où il succomba à ses blessures.
2 - Mort lors d'une traque infernale, où l'armée française le poursuivait pour l'abattre finalement au même lieu.
3 - Et enfin, touché par un tireur d'élite quand il dirigeait la prière hebdomadaire en Islam. En effet le 5 mai 1871 est un vendredi.

Certaines sources informelles et d'oralité disent le bachagha El-Mokrani guidait la prière du vendredi qui se déroule généralement à mi-journée, avec plus de 10 000 fidèles. C'est là qu'un tireur d'élite l'a atteint en plein front.
Calendrier
mai 1871
SemLuMaMeJeVeSaDi
181er234567
19891011121314
2015161718192021
2122232425262728 
22293031
1871 • Années 1870 • xixe siècle
Le contexte de la seconde moitié du 19ème siècle est parmi les étapes coloniales qui révèlent que l'Algérie subissait une aliénation à grande échelle. La loi de forme "sénatus-consulte" promulguée le 22 avril 1863 fut l'une des raisons de la révolte conduite par El-Mokrani et qui a mobilisé plus de 250 tribus à travers le centre et l'est de l'Algérie...  
CET ARTICLE N'EST PAS FINI, il sera continué...
Cependant vous pouvez lire mes anciens articles sur le même sujet :

mercredi 19 juillet 2017

Djamel Beghal veut rentrer en Algérie, la sécurité française perdrait une tête de plusieurs filières terroristes #ENQUÊTE

S'il  y a un terroriste algérien qui a opéré, davantage que tous les autres influents, dans les filières internationales de l'islamo-terrorisme, c'est bien le "bordjien" Djamel Beghal. Même s'il est considéré comme un important élément d'Al-Qaïda en Europe, il n'est ni plus ou moins qu'un fanatisé. Il a rêvé de diriger et a couru sans cesse pour être en contact et au service des leaders... Ce qui l'a poussé de se rapprocher des criminels de haut rang. Et de manipuler, par ce biais, des jeunes, notamment en France... 

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Né, au faubourg des martyrs, le 2 décembre 1965, il eut un parcours sinueux, avec son adhésion à l'islamisme, auquel les autorités du pays ont accordé, lors du règne de Chadli Bendjedid et du parti FLN sous la direction partagée entre Abdelhamid Mehri et Mohamed-Chérif Messaâdia, le grand prosélytisme du Chiekh El-Ghazali

Le pseudo-Faqih, venu du fief des frères musulmans El-Azhar d'Egypte et aux 50 livres truffés d'erreurs, prêchait sur l'unique chaîne-TV. A des heures de grandes auditions, pour toutes les formes de "djihad", en les classant globalement au "djihad Enafss", il prônait "le combat de l'âme". 

Plusieurs sources assurent qu'El-Ghazali percevait 1 million de $ par an. Il avait à sa disposition la mosquée de Constantine, créée par le décret 84/182 du 4 août 1984 et érigée en université des études islamiques. Là où le professeur islamologue algérien Mohamed Arkoun a été, pour la première fois chassé, qui était son écueil dans son propre pays. 
Université Emir Abbdelkader des études islamiques, Constantine

Dans son pays, l'Egypte, ce Cheikh a été condamné à 15 ans de prison, pour "fetwa" terroriste qui a été l'argument de tueurs qui ont éliminé le philosophe Farag Fodha. La TV nationale s'adonnait à être sa tribune, en direct, à 19 heures quotidiennement, en remplacement du "Mousselssel égyptien". Et le vendredi, avec un enregistrement, au moment de la prière hebdomadaire du vendredi.

Le Cheikh qui disait "... la nécessité d'appliquer la charia en terre d'islam..." demandait à combattre les communistes qui dirigeaient l'Afghanistan, quand dans ce pays les filles allaient librement à l'école et le niveau de vie était bien meilleur que maintenant. 

Chadli chargea Brerhi Abdelhak, ministre de l'enseignement supérieur, de le rameuter. El-Ghazali, qui vivait en Arabie Saoudite et malgré les démêlés avec la justice de son pays, posa ses conditions. Outre une bonne rémunération, il exigea de présider le conseil scientifique de l'établissement et le droit de regard sur les programmes pédagogiques de l'établissement de Constantine.    
Djamel est emporté, plus rapidement que ses amis de quartier et de scolarité, par la vague des jeunes qui vénéraient le théologien, à partir du fiel et du miel de se ses discours à la TV unique algérienne. Depuis, son allée dans la "radicalisation" a été, lors de sa scolarité au Lycée Saïd Zerrouki série science "D" où il obtient son bac avec mention, sans retour...

En 1987, alors déjà endoctriné jusqu'au moindre recoin de son esprit, il débarque en France pour des études en informatique qu'il a à peine entamé et sans aller jusqu'au bout. Avec son apparence d'homme pieux, ce qui est le cas de tous les islamistes, il gagne la confiance des membres de la communauté maghrébine vivant en Hexagone.

Comme nombreux exilés, l'alimentaire de subsistance l'occupe plus que la volonté d'étudier. Légalisant don séjours au titre d'étudiant, il commence par travailler dans l`animation en centre de loisirs, ce qui est aussi la situation d'autres "bordjiens". Puis dans le bâtiment et les travaux publics, il trouve des revenus conséquents pour améliorer ses conditions sociales. Et ensuite en tant que commerçant sur les marchés, il vend des articles vestimentaires, ce qui encore une évolution dans son insertion en France.

Il rencontre une français " Sylvie" en 1989, avec laquelle il se marie en 1990 et entame une vie familiale. Lors de cette dernière vie de couple, il eut ses deux premiers enfants en 1992 et 1995. Entre-temps, il est lui est facilité l'acquisition la nationalité française en 1994. De laquelle, il a été déchue dernièrement en 2006, du fait de son lourd dossier dans le terrorisme islamiste international... Au total, 4 enfants Hamza, Mahdi, Zaynab et Mariam, sont nés du couple Beghal en France.


Arrêté quelques mois, avant même les attentats du 11 septembre, parmi les étrangers, qui dérangeaient les islamistes qui ont gagné contre les communistes malgré la rescousse soviétique qui était venue, comme maintenant en Syrie. Les afghans dont Massoud, Rabbani et les autres groupuscules terroristes, n'acceptaient pas l'ambition des djihadistes internationaux de diriger un pays dont ils n'ont la nationalité. Cependant, il leur offert l'expatriation. 

Ce qui a choisi Beghal et sa famille. Transitant seul (sans son épouse et ses enfants) par d'abord le Pakistan et Dubaï, en juillet 2001, il est arrêté. Au moment où il a été appréhendé, il était avec un couple (une algérienne mariée à un marocain tous deux originaires de France) et leurs 2 enfants étaient avec lui. Sur la base d'une enquête en France concernant la préparation d'un attentat contre deux sites américains, l'ambassade et le centre culturel, son dossier a été depuis dressé.

A l'époque où le démantèlement du communisme en Afghanistan battait son plein. Djamel Beghal rêvait de prendre part, dès le début. Environ 200 jeunes originaires de la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj, au taux relativement faible par rapport aux autres régions dont Alger, Oued-Souf et Constantine en sont les premières à donner plusieurs milliers de combattants criminalisés par les réseaux qui leur faisaient prendre le chemin de l'extrême-Asie, via les camps d'entraînement du Soudan, d'Arabie Saoudite et de Peshawar (au Pakistan), du crime religieusement "halal".


C'est pour cela que Beghal n'a pas eu de formation militaire, dédiée aux engagés pris de leur milieu familial, depuis les mosquées du Monde entier. Cependant il s'installa en Afghanistan, prétendument en temps de paix, après que les obscurantistes prirent le pouvoir à Kaboul. Ils ont mis en branle la destruction des libertés, de priver les filles de la scolarité et appliquer la charia islamique des décapitations en masse des membres de la population afghane qui leur résistaient.

Certains islamistes qui ont croisé Beghal en Afghanistan, disent qu'il avait souvent été parmi les chauffeurs qui ont effectué les déplacements d'Oussama Benladen. Après les attentats du 11 septembre, commencèrent, le 7 octobre, les bombardements américains du fief terroriste qu'ils ont créé, contre les communistes afghans dirigés à l'époque par Nadjibullah. 

Le fondateur d'Al-Qaïda dont le nom de l'organisation vient d'être connu, s'est installé au Soudan, d'où il planifiait, avec les islamistes algériens, la prise du pouvoir et l'alimentation du terrorisme de la "décennie noire" en Algérie. Beghal projetait aussi de le rejoindre, mais il a été bloqué aux Emirats Arabes Unis, puis rapidement rapatrié le 1er octobre 2001 en France.

Sa femme et ses femmes sont restés en Afghanistan, après qu'ils ont su que le chef de famille a été arrêté et transféré en France. Puis Sylvie décide de quitter l'Afghanistan où les américains opéraient le nettoyage. La voie des pays du Golf était donc contrôlée par la CIA. C'est donc l'Iran (ce qui laisse dire actuellement à la CIA de l'implication des Mollahs iraniens dans le terrorisme) qui les a accueillis jusqu'en 2002, année où ils rejoignirent la France.
Prochain article :

Djamel Beghal en France, un "Blédard" promettait le paradis aux "Zonards"      

dimanche 15 janvier 2017

Le foncier préalable à l'activité économique

 Du fait de l'impact de l'effort local sur la vie sociale, notamment la création d'emplois, ce sujet est utile. Il est question aussi d'encourager l'innovation et la création de richesses.

La place du foncier dans l'investissement économique est primordiale. Sans le terrain il est inimaginable d'implanter l'industrie ou d'exploiter les ressources disponibles. Selon une dépêche de l'APS, l'année 2016 a été fructueuse en matière de gestion des sols servant d'assiettes aux activités, la tâche de régulation et de suivi a traité 767 dossiers répartis à travers le territoire de la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj.

Sur la base de la feuille de route initiée lors du conclave du 12 novembre 2016, regroupant gouvernement et Walis, consacrée au développement local et axée sur l'efficience de l'opérabilité du service public en direction des entrepreneurs. En effet, la question du guichet unique, basé au niveau du cabinet du Wali, où sont traitées les demandes des investisseurs, nécessitait une dynamique qui allège les procédures bureaucratiques. Le double volet des réformes de la fiscalité locale et de la promotion de l'investissement devait être réinitialisé.

Pour Bordj-Bou-Arréridj, la disponibilité du foncier devait répondre à l'attellement des détenteurs de projets. Si la  simplification des démarches administratives est encourageante, le tourisme n'est pas de premier ordre, comme le préconisait la rencontre de l'exécutif gouvernemental avec les resposnables régionaux. Cette localité s'engage davantage sur la production manufacturière et industrielle que de service de plaisance. La localité des hauts plateaux, malgré ses somptueux paysages et ses richesses culturelles indéniablement ancrées au pays profond, le tourisme n'est sa première vocation.

Il fallait donc résoudre les aléas du foncier industriel qui s'expose à des demandes fictives qui ne débouchent pas sur la création d'entreprises. En effet les spéculateurs de l'immobilier qui se polarisent sur l'accaparement des terrains se voient donc éliminer, comme ce fut les cas de 90 pseudos investisseurs mis en demeure pour renouveler leurs dossiers en exprimant leur renoncement. Ou bien des 6.5 hectares restés nus après leur attribution, ce qui a engendré leur récupération lors de l'année écoulée. Dans ce même sens, une soixantaine dotations de terrains sont exposées à l'absence des bénéficiaires qui sont désormais de régulariser leurs demandes ayant bénéficié d'offres restées inachevées.

La mobilisation des zones d'activité a aussi connu pendant l'année 2016 la création de 5 permis de segmentation ont été délivrés dans la cadre d'une plus large répartition à travers le territoire de la Wilaya. Respectivement par ordre d'importance, voici les points géographiques disponibles pour accueillir des investissements.

  • A El-Hammadia (sud de Bordj), Mechta Fatima 382 hectares ont été désignés pour recevoir des projets. 
  • 134 hectares à Ras-El-Oued (la plus importante daïra à l'est de Bordj), auprès de la bourgade de R'mael
  • 189 hectares à El-Euch (sud de Bordj) répartis en deux sites.
  • 160 hectares à Mansourah (ouest de Bordj).
Des extensions des zones d'activités sont prévues avec 79 hectares respectivement à El-Euch et 220 à El-Mehir, connu pour ses carrières d'agrégats destinés aux travaux publics, et la zone industrielle du chef lieu de la Wilaya de 71.

Le bilan du foncier pour l'investissement privé de l'année 2016 se présente avec le même élan qu'on connait à Bordj. Au total 379 projets ont été approuvés, dont 327 sont bénéficiaires de terrains et 31 concessions destinées à l'exploitation gisements naturels. Les capacités disponibles sont actuellement de 1235 hectares avec l'ouverture d'une nouveau site à El-Achir, auprès du lieu dit "Essafia" où seront aménagés 380 hectares. Cette localité à une dizaine de kilomètres à l'ouest de Bordj est connue son attraction sur les passagers routiers et le commerce de la viande.

jeudi 28 juillet 2016

Industrie, croissance et émergence, Bordj-Bou-Arreridj pionnière des localités algériennes

L'investissement industriel privé à Bordj-Bou-Arreridj est apprécié à la manière d'une localité leader qu'aucune autre région d'Algérie n'a pu atteindre. Son dynamisme est souvent évoqué exemplaire. La presse nationale (le journal gouvernemental El-Moudjahid) et internationale (Jeune-Afrique parmi d'autres titres), éblouies par l'émergence économique de cette wilaya, ont consacré plusieurs articles qui qualifient cette zone géographiquement au cœur des Hauts-Plateaux du Maghreb, en pôle majeur dans le monde des affaires. Il y va aussi de la première entreprise algérienne "Cevital" qui a montré son intéressement à implanter une unité de verrerie et d'alliages métalliques (3000 emplois à la clé) destinés à l'immobilier. Des succès probants sont d'ores et déjà enregistrés, ce qui la distingue d'être l'un des potentiels qui aspirent dignement, avec la bonne qualité de la production selon des normes mondiales, à l'exportation.

Hommage aux bâtisseurs et aux créateurs de richesses ! Bonne route à tous les entrepreneurs de Bordj !
Originellement à vocation agricole, le territoire s'est mué machinalement pour la fabrication des produits alimentaires. Puis les matériaux de construction devinrent un vecteur d'édification urbaine, témoignant de l'engouement des initiatives économiques. Et enfin l’électronique, avec une vingtaine d'unités toutes fiables dont l'entreprise "Condor" a tous les mérites, est venue donner cette touche qualitative où l'intelligence de la high-tech. Ce secteur, à lui seul, renoue cette localité avec ses grandeurs dont les proéminentes marques historiques, comme son club de Football "CABBA" qui date des années 20, au même titre que le MCA de la capitale datant du siècle dernier, ou bien l'éminence du combat résistant à la colonisation d'El-Mokrani, lors du centenaire précédent.



Il convient aussi de prendre connaissance de la dernière actualité qui a trait à la crédibilité de certains opérateurs qui s'inscrivent comme porteurs de projets, mais tergiversent dans la réalisation de leurs investissements. Ils étaient 180 à être avertis par le Wali (préfet) en décembre 2015 pour le retard dans le commencement des travaux de constructions de leurs usines, ils sont désormais 356, donc le double, le 27 juillet 2016, à être mis en demeure pour "non-concrétisation de projets", selon les services de la wilaya qui ont fixé la liste des inscris visés par cet avertissement.

Un comité spécial, où sont représentés plusieurs secteurs d'activité, a été chargé du suivi des projets validés. Il a mené des investigations en ouvrant les dossiers, cas par cas. Son constat est on peut plus clair. 309 investisseurs doivent réactualiser, auprès de la direction de l’industrie et des mines, leurs démarches. Elles sont obsolètes pour certains, irrégulières pour d'autres, incomplètes pour nombreux cas et restées juste au stade de déclarations quant à quelques situations.

La première catégorie est interpellée pour mettre à jour les dossiers d’investissements. Alors 47 bénéficiaires de foncier industriel accusent un retard de production, c'est-à-dire les travaux de construction des bâtis sur les terrains dont ils ont été bénéficiaires ont peu avancé. Parmi ces derniers, il n'y a même ceux qui n'ont aucun commencement de chantier. Il est certainement vrai que la complexité des aspects techniques auxquels sont destinées leurs usines se confronte à un manque de maîtrise des bâtiments spécifiques. Cependant, il existe des opérateurs qui lorgnent pour détourner, comme revendre les lots de terrains obtenus, la destination de ce foncier consacré à l'industrie.

Selon les données datant de 2013, ce qui n'est pas ancien, Bordj-Bou-Arreridj est classée première wilaya d'Algérie pour les dossiers reçus. Le nombre dépasse 1.400 dont les premiers agréés étaient de 500. 
Pour citer les prouesses :
  • la plus grande briqueterie d’Afrique avec 260.000 tonnes
  • usine de fabrication de géo-membrane qui sert à assurer l’étanchéité des barrages et autres centres d’enfouissement des déchets, 4e au monde et unique sur le continent noir
  • et l'unité de fabrication de panneaux solaires, première en Afrique à concevoir les cellules photovoltaïques qui la différencie de la gigantesque installation de captation du Maroc qui devait s'approvisionner de sa production, dans le cas d'une amélioration concurrentielle des capacités à générer l'énergie. 
Ce développement économique a pour conséquence sociale la création d'emplois, une merveille en cette époque où la jeunesse cherche la pérennité d'un destin meilleur.
  • A mes lecteurs de Bordj-Bou-Arréridj, je vous propose de prendre connaissance de cette action des artistes de Bordj-Bou-Arreridj, unique du genre en Algérie : ICI.
  • Je promets aussi, un sujet sur l'agriculture, domaine et univers dans lequel je me suis spécialisé depuis des années en publiant des articles sur la presse écrite algérienne : ICI
  • Et enfin l'électronique et la High-tech qui est aussi ma passion, voire ma profession de la com. numérique, aura son sujet prochainement.
  • Prenez connaissance des entreprises de Bordj-Bou-Arreridj figurant dans l'annuaire international KOMPASS ICI