Cet article est produit juste pour aborder avec un questionnement, improbable mais utile, adressé à la mémoire de la région de Bordj-Bou-Arreridj : comment est mort, le 5 mai , le chantre de l'insurrection de 1871 en Algérie ?
En outre, il est plus que nécessaire d'insister sur la descendance berbère de ce rebelle, originaire d'une dynastie des "Amokrane" de la "Kalaâ des Beni-Abbès".
Ce dernier est un ancien État d'Afrique du Nord et fief de principauté ayant, désigné dans l'historiographie espagnole comme « reino de Labes »...
Cheikh El-Bachagha El-Hadj Mohamed El-Mokrani |
Malgré que beaucoup d'historiens s'accordent sur la version de sa mort à oued Soufflat, sans que des indications sur les circonstances de son décès ne soient précisées, l'horaire ou bien l'emplacement exacte méritent d'être déterminés.
Les trois hypothèses qui suscitent cet article sont :
1 - Lors d'une bataille dans les reliefs des portes de fer, où les troupes colonialistes avaient vécus des embuscades des guerriers qui étaient sous ses ordres, il a été touché. Puis il a été transféré jusqu'à oued Soufflat où il succomba à ses blessures.
2 - Mort lors d'une traque infernale, où l'armée française le poursuivait pour l'abattre finalement au même lieu.
3 - Et enfin, touché par un tireur d'élite quand il dirigeait la prière hebdomadaire en Islam. En effet le 5 mai 1871 est un vendredi.
Certaines sources informelles et d'oralité disent le bachagha El-Mokrani guidait la prière du vendredi qui se déroule généralement à mi-journée, avec plus de 10 000 fidèles. C'est là qu'un tireur d'élite l'a atteint en plein front.
Calendrier |
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1871 • Années 1870 • xixe siècle |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de votre commentaire.