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vendredi 13 juillet 2018

Djamel Béghal désire, avec les autorités françaises, un retour en Algérie !

Les discussions entre l'Algérie et la France vont bon train, à propos de l'expulsion de Djamel Beghal dont la sortie embarrassante de prison est prévue pour le 16 juillet. 
Selon des officiels français, dont le président du groupe "La République en Marche", le parti majoritaire du président Emmanuel Macron, à l’Assemblée nationale qui a été l'invité de l’émission "Questions d’info" de la chaîne parlementaire "LCP" à laquelle participe l'hebdomadaire "Le Point" et l'agence "AFP", un compromis a été trouvé, avec l'Algérie, pour refourguer le dangereux terroriste, passé maître dans la manipulation des activistes.
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Député du Finistère, Mr Richard Ferrand s'est exprimé au nom du ministère chargé de la diplomatie, appelé "Ministère de l'Europe et des affaires étrangères" qui lui n'a pas confirmé que l'approbation des autorités algériennes, pour accueillir cet impénitent islamiste au parcours des plus sombres, est acquise.

La garde des seaux, madame Nicole Belloubet de son côté, n'a pas confirmé l'expédition de Béghal, qui a été déchu de la nationalité française malgré ses quatre enfants avec une épouse autochtone de l'hexagone, vers son pays d'origine. La ministre reste reste sceptique et espère que l'acceptation de l'Algérie pouvait être approuvée d'ici la relaxation... 

Lire notre précédent sujetpour se faire une idée de qui est Djamel Beghal. Où nous avons bien précisé que le retour en Algérie est parmi les visées de l'intéressé.

Dernièrement des liens, de cet algérien avec Amédy Coulibaly et les frères Kouachi, ont été rendus publics d'une manière à ne pas être niés ou démentis. Le premier est l'auteur de la tuerie criminelle de l'épicerie de la porte de Vincennes, comme y figurent les deux sur cette photo : 
Photo de l'agence Sipa-presse.
Et les seconds, sur cet autre photo avec l'un des deux frères Kouachi, Saïd, sont les auteurs de l'attentat du journal satirique Charlie-Hebdo où 11 personnes ont trouvées la mort, dont 8 membres de la rédaction :  


Dans les milieux islamo-terroristes de France, Djamel Beghal a été derrière nombreuses affaires. Il s'est fait un profil de théologien, que son séjour en Afghanistan, comme nous l'avons décrit dans notre précédent article, il a bénéficié d'une formation paramilitaire, tout juste sommaire.

De réputation sulfureuse, ce chantre de l'obscurantisme est un risque, à ne pas prendre à la légère, pour l'Algérie...


mercredi 19 juillet 2017

Djamel Beghal veut rentrer en Algérie, la sécurité française perdrait une tête de plusieurs filières terroristes #ENQUÊTE

S'il  y a un terroriste algérien qui a opéré, davantage que tous les autres influents, dans les filières internationales de l'islamo-terrorisme, c'est bien le "bordjien" Djamel Beghal. Même s'il est considéré comme un important élément d'Al-Qaïda en Europe, il n'est ni plus ou moins qu'un fanatisé. Il a rêvé de diriger et a couru sans cesse pour être en contact et au service des leaders... Ce qui l'a poussé de se rapprocher des criminels de haut rang. Et de manipuler, par ce biais, des jeunes, notamment en France... 

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Né, au faubourg des martyrs, le 2 décembre 1965, il eut un parcours sinueux, avec son adhésion à l'islamisme, auquel les autorités du pays ont accordé, lors du règne de Chadli Bendjedid et du parti FLN sous la direction partagée entre Abdelhamid Mehri et Mohamed-Chérif Messaâdia, le grand prosélytisme du Chiekh El-Ghazali

Le pseudo-Faqih, venu du fief des frères musulmans El-Azhar d'Egypte et aux 50 livres truffés d'erreurs, prêchait sur l'unique chaîne-TV. A des heures de grandes auditions, pour toutes les formes de "djihad", en les classant globalement au "djihad Enafss", il prônait "le combat de l'âme". 

Plusieurs sources assurent qu'El-Ghazali percevait 1 million de $ par an. Il avait à sa disposition la mosquée de Constantine, créée par le décret 84/182 du 4 août 1984 et érigée en université des études islamiques. Là où le professeur islamologue algérien Mohamed Arkoun a été, pour la première fois chassé, qui était son écueil dans son propre pays. 
Université Emir Abbdelkader des études islamiques, Constantine

Dans son pays, l'Egypte, ce Cheikh a été condamné à 15 ans de prison, pour "fetwa" terroriste qui a été l'argument de tueurs qui ont éliminé le philosophe Farag Fodha. La TV nationale s'adonnait à être sa tribune, en direct, à 19 heures quotidiennement, en remplacement du "Mousselssel égyptien". Et le vendredi, avec un enregistrement, au moment de la prière hebdomadaire du vendredi.

Le Cheikh qui disait "... la nécessité d'appliquer la charia en terre d'islam..." demandait à combattre les communistes qui dirigeaient l'Afghanistan, quand dans ce pays les filles allaient librement à l'école et le niveau de vie était bien meilleur que maintenant. 

Chadli chargea Brerhi Abdelhak, ministre de l'enseignement supérieur, de le rameuter. El-Ghazali, qui vivait en Arabie Saoudite et malgré les démêlés avec la justice de son pays, posa ses conditions. Outre une bonne rémunération, il exigea de présider le conseil scientifique de l'établissement et le droit de regard sur les programmes pédagogiques de l'établissement de Constantine.    
Djamel est emporté, plus rapidement que ses amis de quartier et de scolarité, par la vague des jeunes qui vénéraient le théologien, à partir du fiel et du miel de se ses discours à la TV unique algérienne. Depuis, son allée dans la "radicalisation" a été, lors de sa scolarité au Lycée Saïd Zerrouki série science "D" où il obtient son bac avec mention, sans retour...

En 1987, alors déjà endoctriné jusqu'au moindre recoin de son esprit, il débarque en France pour des études en informatique qu'il a à peine entamé et sans aller jusqu'au bout. Avec son apparence d'homme pieux, ce qui est le cas de tous les islamistes, il gagne la confiance des membres de la communauté maghrébine vivant en Hexagone.

Comme nombreux exilés, l'alimentaire de subsistance l'occupe plus que la volonté d'étudier. Légalisant don séjours au titre d'étudiant, il commence par travailler dans l`animation en centre de loisirs, ce qui est aussi la situation d'autres "bordjiens". Puis dans le bâtiment et les travaux publics, il trouve des revenus conséquents pour améliorer ses conditions sociales. Et ensuite en tant que commerçant sur les marchés, il vend des articles vestimentaires, ce qui encore une évolution dans son insertion en France.

Il rencontre une français " Sylvie" en 1989, avec laquelle il se marie en 1990 et entame une vie familiale. Lors de cette dernière vie de couple, il eut ses deux premiers enfants en 1992 et 1995. Entre-temps, il est lui est facilité l'acquisition la nationalité française en 1994. De laquelle, il a été déchue dernièrement en 2006, du fait de son lourd dossier dans le terrorisme islamiste international... Au total, 4 enfants Hamza, Mahdi, Zaynab et Mariam, sont nés du couple Beghal en France.


Arrêté quelques mois, avant même les attentats du 11 septembre, parmi les étrangers, qui dérangeaient les islamistes qui ont gagné contre les communistes malgré la rescousse soviétique qui était venue, comme maintenant en Syrie. Les afghans dont Massoud, Rabbani et les autres groupuscules terroristes, n'acceptaient pas l'ambition des djihadistes internationaux de diriger un pays dont ils n'ont la nationalité. Cependant, il leur offert l'expatriation. 

Ce qui a choisi Beghal et sa famille. Transitant seul (sans son épouse et ses enfants) par d'abord le Pakistan et Dubaï, en juillet 2001, il est arrêté. Au moment où il a été appréhendé, il était avec un couple (une algérienne mariée à un marocain tous deux originaires de France) et leurs 2 enfants étaient avec lui. Sur la base d'une enquête en France concernant la préparation d'un attentat contre deux sites américains, l'ambassade et le centre culturel, son dossier a été depuis dressé.

A l'époque où le démantèlement du communisme en Afghanistan battait son plein. Djamel Beghal rêvait de prendre part, dès le début. Environ 200 jeunes originaires de la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj, au taux relativement faible par rapport aux autres régions dont Alger, Oued-Souf et Constantine en sont les premières à donner plusieurs milliers de combattants criminalisés par les réseaux qui leur faisaient prendre le chemin de l'extrême-Asie, via les camps d'entraînement du Soudan, d'Arabie Saoudite et de Peshawar (au Pakistan), du crime religieusement "halal".


C'est pour cela que Beghal n'a pas eu de formation militaire, dédiée aux engagés pris de leur milieu familial, depuis les mosquées du Monde entier. Cependant il s'installa en Afghanistan, prétendument en temps de paix, après que les obscurantistes prirent le pouvoir à Kaboul. Ils ont mis en branle la destruction des libertés, de priver les filles de la scolarité et appliquer la charia islamique des décapitations en masse des membres de la population afghane qui leur résistaient.

Certains islamistes qui ont croisé Beghal en Afghanistan, disent qu'il avait souvent été parmi les chauffeurs qui ont effectué les déplacements d'Oussama Benladen. Après les attentats du 11 septembre, commencèrent, le 7 octobre, les bombardements américains du fief terroriste qu'ils ont créé, contre les communistes afghans dirigés à l'époque par Nadjibullah. 

Le fondateur d'Al-Qaïda dont le nom de l'organisation vient d'être connu, s'est installé au Soudan, d'où il planifiait, avec les islamistes algériens, la prise du pouvoir et l'alimentation du terrorisme de la "décennie noire" en Algérie. Beghal projetait aussi de le rejoindre, mais il a été bloqué aux Emirats Arabes Unis, puis rapidement rapatrié le 1er octobre 2001 en France.

Sa femme et ses femmes sont restés en Afghanistan, après qu'ils ont su que le chef de famille a été arrêté et transféré en France. Puis Sylvie décide de quitter l'Afghanistan où les américains opéraient le nettoyage. La voie des pays du Golf était donc contrôlée par la CIA. C'est donc l'Iran (ce qui laisse dire actuellement à la CIA de l'implication des Mollahs iraniens dans le terrorisme) qui les a accueillis jusqu'en 2002, année où ils rejoignirent la France.
Prochain article :

Djamel Beghal en France, un "Blédard" promettait le paradis aux "Zonards"