mercredi 26 août 2020

Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI !

Bien souvent, les institutions bureaucratisées se fanent et deviennent inactives. Alors les citoyens ripostent, pour donner vie et priorité à la réalisation de ce qui devait être fait par la mairie. 

Merci à Mr Bendjoual. Il redonne un espoir qui dégage le progrès, aux habitants de sa cité. Une idée de grandeur qui existait en Algérie. Que l'incompétente bureaucratie a effacé. 

Un autre sujet : Cadre de vie : main dans la main aux cités 100 et 126 logts, route de Médjana.

Ce qui est du rôle de l'Etat et des appareils des localités se réalise quand il y a de la compétence et du savoir-faire, chez les responsables. 

Ce qui améliore le cadre de vie de tous, mérite du respect.

Voilà, ici un administré de Bordj qui fait un travail associatif et écologique admirable et de grande importance. 

Toute la communauté doit, à cet engagé pour reboiser les artères de la localités, une aide obligée et naturelle.

Bon courage. Je reviendrai pour vénérer ton action qui vaut tous les prix et les respects !

samedi 18 juillet 2020

Décès de Moussa Benhamadi, les parvenus d'une industrie de prédateurs à mentalité rurale (ou bédouine).

Ancien ministre des télécommunications, sous le règne de Bouteflika, précisément lors de l'illégal et inconstitutionnel 4ème mandat, Moussa Benhamadi est décédé. Il est aussi député du faux-FLN , alors que son frère, impliqué dans les affaires de corruption est aussi élu avec le RND. Il a perdu la vie dans la soirée du 17 juillet 2020, du COVID-19 à l'hôpital Mustapha Bacha d'Alger, où il a été transféré depuis 4 jours.


Il a été infecté au Covid-19 à la prison d'El-Harrach où il purgeait, depuis septembre 2019, une peine non encore fixée. Avec 2 de ses autres frères, il est impliqué dans les affaires de diverses formes de corruption.
Des actes qui font mélange, telle que l'est la mafia politico-financière, hommes politiques et investisseurs industriels, tous les deux sans scrupules pour s'accaparer d'immenses richesses.
Donc pour divers délits de détournement de biens publics et prises d'intérêts, l'un d'eux a été relaxé, il s'agit d'Abderrahmane PDG qui a, devant l'opinion publique, la charge du groupe Condor.
Lequel a été empêché dernièrement d'une sortie du territoire nationale, au niveau du passage douanier.
Le régime algérien et sa justice, qui laissent à désirer, préfèrent retenir en otages des membres de même famille, car les justiciables prennent la poudre d'escampette à l'étranger, pour ne subir leurs condamnations.
Jusqu'à son décès en détention préventive, avec ses trois frères, il était impossible et alambiqué de dresser une évaluation, estimée par des expertises indépendantes des médias, à plusieurs milliers de milliards. Les diverses prédations, actes criminels et opérations délictuelles que lui et sa famille avaient effectué et facilement acquis avec l'aval du gang des Bouteflika qui squattait la présidence algérienne depuis 1999, ont plusieurs formes et ont trait généralement aux industries dont l'alimentation et l'électronique.
Lors d'un incendie de l'usine Condor à Bordj-Bou-Arreridj, en plein ramadan 2015, les soupçons d'escroquerie à l'assurance ont été soulevés, mais comme Moussa était ministre de PTT, l'affaire a vite été tassée...
Moussa Benhamadi était poursuivi par une enquête ayant à la corruption liée au groupe Condor Electronics, ayant plusieurs manigances enchevêtrées et difficiles à dénouer. Alors les prises de terrains fonciers sans respect des règles d'aménagement du territoire et détournements de biens publics, sont visiblement assez claires et élucidées.
Notons qu'à l'avènement d'Internet, lors de la dernière décennie du second millénaire (1990 à 2000), les Benhamadi ont été parmi les premiers à avoir introduit un "provider", l'appareil comme un gros ordinateur, qui sert à la connexion pour usage du Web via les 1ers équipements téléphoniques.
Le matériel d'occasion qu'ils ont importé des Etats-Unis où fut leur antécédent contact avec le clan de Bouteflika Abdelaziz, a intrigué les rares ingénieurs qui pouvaient s'exprimer à l'époque, mais rapidement l'histoire a été enterrée par directement la présidence. Puis la technologie a évolué, mettant aux oubliettes cette intrigue de haut-vol !
Alors que la Ministre de l’Industrie et des Mines, Madame Djamila Tamazirt, a succédé, à son homologue, après la dernière équipe de Sellal a été déboulonnée en 2019, par le général Gaïd Salah, elle avait fait une fracassante déclaration à propos du groupe électronique Condor.
Elle avait déclaré : "Condor n'a jamais fabriqué, ou même fait le montage, d'un seul appareil téléphonique localement. Les téléphones portables sont importés de l'étranger et l'étiquette Condor y était collée dessus...", précisa la membre de l'équipe gouvernementale conduite par Bédoui.
Voici son parcours dans les rouages publics, cela n'enlève en rien l'arrivisme surtout dans l'industrie
  • A étudié au lycée Mohamed Kerouani à Sétif.
  • Puis à l'université d'Alger
  • Programmeur informatique à Centre National de Traitement des Données
  • Ingénieur informatique à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
  • Président du Centre de Comptabilité à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
  • Chef de service informatique à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
  • Chef de Département Informatique à Commissariat au Energies Nouvelles
  • Directeur général à cerist
  • Président Directeur Général à Algérie Télécom
  • Ministre des PTT

jeudi 25 juin 2020

Amar Chani & Benchérif le dentiste et violoniste : ils composent...

2 figures emblématiques de l'art et la culture de la localité de Bordj-Bou-Arreridj.
Avec le style ou genre musical propre à la région, où se croisent divers intonations musicales.
Le sétifien (sraoui) et du bédoui revenant au Melhoun...
On reconnait aussi la traversée d'un genre plus diversifié du "raï classique des chouyoukh" auquel Amar Chani a beaucoup donné.
Benchérif, dentiste de métier donc universitaire, qui a montré un grand intéressement, comme d'autres artistes, au terroir local...
A souvent été plus audacieusement un prospecteur du patrimoine de Bordj-Bou-Arreridj.  

jeudi 21 mai 2020

Le procureur requiert 5 ans de prison et 100 000 DA d'amende pour Chérif Ghassoul à BBA.

Le parquet de Bordj a requis 5 ans de prison fermes et cent mille dinars d'amende (10 millions de centimes) à l’encontre du prisonnier d'opinion, Cherif Ghassoul. 2 articles ont été déjà publiés par mes soins, sur la situation de cet administré, père de famille, tombé dans les filets de la répression qui s'installe après Boutef. Le même tribunal se prononcera lors du mois prochain, de juin, sur son cas. Alors que les défenseurs, qui s'expriment sur leur client divulguent de leur côté leur suivi, la source de cet article...

Ce 21 mai 2020, alors que j'écris ce sujet, entre 15 et 17 heures, auprès de l'instance locale de la chambre criminelle, est jugé le jeune Cherif Ghassoul. Il l'est pour appartenance au Hirak. Il est emprisonné depuis août 2019 (déjà 9 mois), sans que l'on se prononce définitivement sur le délit qui lui est reproché. 

Il a grandement contribué à la création du "TIFO", avec principalement des participations diverses de concitoyens de sa ville, l’emblématique Bordj. Et c'est là le fait qui sous-tend la réaction illégale de la justice et de ses sbires aveugles.

Précédent sujet.

Avec des procédures faites selon les injonctions de la bureaucratie et des politicards qui dirigent, il est dit que le verdict sera prononcé en juin, le mois prochain. Mais rien n’est encore sûr, avec tant d'obscure gestion du socle de la république par des magistrats qui ont la conscience noyautée par l’oligarchie. 

Bordj-Bou-Arreridj était un fief de la révolte qui a dit non-au 5ème mandat pour le despote du faux-FLN Bouteflika et dès les premières semaines de 2019. Comme l'est l'ensemble du mouvement Hirak, la spontanéité naissante du sentiment de révolte et de fierté a pris la jeunesse pour qu'elle revendique tant l'expression citoyenne que la fin du régime de l'incompétence et de la corruption.

Dans la radieuse ville qui rayonne sur les hauts plateaux, tant par son économie à vocation technologique que par sa mémoire marquante dans l'histoire algérienne, a été déployée l'une des plus immenses banderoles qu'a connu le pays et même le Monde. 

Avec ce gigantesque étendard est apparu le mot "TIFO" dont l'étymologie revient aux gradins du football italien. Sa signification est établie comme un grand drapeau, contenant une caricature et un slogan.

"Justice du téléphone", disent les critiques de la chose commune.

En effet, balancée depuis le haut d'un immeuble encore en construction, situé au cœur de la ville capitale de la wilaya, l'immense toile revient aux supporteurs de football. Assez ancienne au niveau national, l'équipe locale "CABBA" a déjà suscité une culture juvénile de défoulement pour suivre les compétitions du ballon rond. Car elle joue en 1ère division du championnat algérien. Ses fans ont majoritairement, avec leurs slogans, rejoint le Hirak, sinon ils l'ont lancé. 

Depuis l'exposition de l'ample banderole, des questions ont surgi sur sa confection ? Ses auteurs et son importance de vouloir distinguer la révolte de BBA contre le régime. 

Fortement ancrée dans la société, ce drapeau reste bien une curiosité. Des rumeurs ont parlé d'un financement revenant à des industriels locaux. Et qui sont nombreux. Mais point de leur aide ! 

L'autre fait marquant, du Hirak à BBA, est le repas en plein mois de ramadan 2019, en l'occasion duquel une vache a été sacrifiée dans la pure tradition africaine. Et aussi la provenance de la ressource qui a couvert ce frai est un autre questionnement ? Une autre cotisation, perçue comme financement venant de l'extérieur du pays.

Sur le même citoyen, un autre article.

Les juges qui siègent à Bordj, après des mois qu'ils attendent les résultats de l'enquête qui s'avère être des plus approximatives, ont tranché selon l'arbitraire qui leur est édicté. 

Faute de reprocher à Mr Ghassoul d'avoir soutenu la désobéissance civile qui a permis la chute du despote Bouteflika, les magistrats l'accusent d'être soutenu de l'étranger, voire d'avoir eu de l'argent par une intervention externe au pays.

Comment Chérif a pu être financé de la « main étrangère » comme le suggère le réquisitoire ? Aucune explication n’est étayée. Le procureur, comme déjà des opinions locales, se demande en effet qui a pu procurer tant de moyens au mouvement du Hirak à Bordj ?

Mais le peuple est engagé. La société algérienne peut créer même des miracles, dont celui du départ de Bouteflika est l'exemple illustratif. Son émeute sage et sans discorde obscurantiste démontre pleinement la volonté de changement.

En fait, c’est la seule façon de nier la volonté d’un peuple décidé d’en finir avec gabegie d’un régime systémique. Une justice aveugle et arbitraire. La force de la nouvelle jeunesse connectée via une communication sociétale moderne, n’a même pas besoin de journalistes, qui sont absents pour parler de l’affaire de ce citoyen. C’est une volonté collective incassable.

La population, comme à Bordj, aspire à arrêter le minable pouvoir de la bureaucratie, du « ben-Amisme » et de l’incompétence, celui qui a ruiné l’Algérie qui est enviée pour ses moyens matériels et surtout humains, tel ce militant. 

Du tribunal de BBA. 

mercredi 20 mai 2020

Cluster COVID-19 de BBA

Le décès du Dr Wafa Boudissa a provoqué un vif émoi et un tollé sur les réseaux sociaux du Web. Son cas a été largement connu à travers le pays qui est livré à la gabegie. Et plus gravement le secteur de la santé, dont le management suppose qu'il est entre les mains de la pire incompétence, souffre d'une fuite des médecins et de pratiques approximatives qui sont partout répandues.
La population de Bordj avoisine les 800 000 âmes, dont un peu du quart se concentre au chef-lieu de wilaya. La maladie qui s'est déclenchée depuis la Chine et qui s'est éparpillée à l'ensemble des agglomérations et bourgades de la 34é wilaya d'Algérie, ne connaît pas de confins tant locaux qu'internationaux. Il suffit que les conditions s'y prêtent.

Est-ce-qu'il y a une explication rationnelle à l'arrivée du SRAS-Cov-2, le virus à l'origine de l'épidémie mondialisée du COVID-19, à Bordj ? Oui. La collectivité est à cheval entre les principales régions du pays, de même qu'elle est fréquentée pour ses activités économiques. Et la mobilité de sa population alimente la propagation.

Dès le début, Bordj s'est fait connaître avec les premiers cas. J'avais déjà diffusé l'alerte sur ce sujet, dès le 4 mars que vous pouvez conter ICI. Depuis beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. 

Les décès d'un infirmier, 
Kamel Maâref, âgé de 51 ans, du service de chirurgie à l’hôpital Bouzidi-Lakhdar à B.B.A. puis du Dr Boudissa, à Ras-El-Oued, secouent les esprits.

La jeune médecin était prioritaire pour bénéficier d’un congé exceptionnel ou même de son simple droit. Elle était enceinte de huit mois, le jour où elle rendu l'âme, le 15 mai.

Ses consoeurs et collègues lui avaient signifiaient un appui pour un repos qui d'abord son droit, avant qu'elle ait bien démontré fatalement quelle le méritait. Puis avaient fustigé, devant les caméras, les responsables de ce décès et exigé leur départ. 

Âgée de 28 ans,elle était employée aux urgences chirurgicales de l’établissement public hospitalier de Ras El Oued de la wilaya de Bord Bou Arreridj, à 200 kilomètres au sud-est d’Alger.
BBA en Algérie et Ras-El-oued dans la wilaya.Map of Algeria highlighting Bordj Bou ArréridjDZ 34 Ras El Oued.svg

jeudi 14 mai 2020

Arbitraire subi par Chérif Ghassoul à BBA

D'emblée, notons qu'il est emprisonné depuis quasiment plus de 8 mois, sans que la justice ait tranché pour son cas. Chérif Ghassoul a rendez-vous, encore une fois pour prolonger ses angoisses, avec les juges, auprès du tribunal de Bordj-Bou-Arréridj, le 21 mai.


Le précédent article publié sur Projet-BBA, que vous pouvez consulter ICI avait annoncé la tenue d'une instance le mai 13 mai. 
Mais voilà que nous apprenons de source bien vérifiée et entrecoupée avec d'autres émanations de l'information, que son affaire connait un nouveau report, au 21 de ce mois de mai.


Le procès de Chérif Ghassoul de Bordj-Bou-Arréridj est vraiment un cas d'école, en matière de dégradation des droits des citoyens.
Ce qui fait redouter, qu'à l'avenir ce genre d'arbitraire va s'accentuer à Bordj, à l'instar de toute l'Algérie. 
Et ce qui passe partout dans d'autres régions et villes du pays démontre clairement qu'un climat d'injustice est encore plus grave qu'au temps de l'ancien régime.
Ce prisonnier d'opinion est présenté devant le tribunal criminel, sans que ne soit vraiment expliquée sa situation qui traîne entre les mains de magistrats sans crédibilité, au regard de la lenteur.

#برج_بعريريج: تأجيل محاكمة معتقل الرأي "شريف غسول" ليوم الخميس 21 ماي 2020 أمام قسم الجنح لمحكمة برج بعريريج ، للذكر تم إعتقاله يوم السبت 24 اوت 2019 ، منذ ذلك اليوم و هو متواجد في الحبس المؤقت اي اكثر من 8 أشهر .

lundi 11 mai 2020

L'athlète Cherif Gassoul sera jugé mercredi prochain à BBA.

En réalité, il n'y a plus d'opinion libre en Algérie. De même qu'il n'y a plus de presse, ou de journalistes, vraiment habités de la bonne conscience professionnelle pour étayer la vérité. Sinon être indépendant des rouages et autres chapelles qui ont ruiné ce grand pays, il y le média qui sert et aide le citoyen qui le regarde avec espoir.

Y compris à Bordj, où personnellement en plein terrorisme au temps de la "décennie noire" (1989/2000) j'avais apporté toutes les vérités, avec mes articles sur Alger-Républicain, El-Watan et Liberté. J'avais comblé un déficit pour la couverture de beaucoup de faits importants. Comme ce jugement de cet administré victime d'injustice, sans que l'on parle... 
Chérif Ghassoul de BBA
- Précédent article : Le 16 avril 2020, 14 citoyens de B.B.A. seront jugés pour le Hirak.

L'arbitraire en Algérie abuse "d'ennemi à la patrie" collé à toute parole libre. Des citoyens sont envoyés en prison pour des accusations fallacieuses. Comme regroupement non-autorisé, ou appel à faire de telles manifestations, ainsi atteinte à la sûreté nationale, sont de vraies atteintes aux libertés démocratiques et citoyennes. 

Tel est le cas de Cherif Ghassoul, sportif d'esprit et engagé à entraîner des jeunes et former son propre physique, par l'haltérophilie et la body-garde qu'il pratique depuis des années. 

Donc c'est dans une indifférence intenable que ce prisonnier d'opinion de Bordj-Bou-Arreridj, est mis aux arrêts depuis le 24 août 2019, (certaines sources disent depuis le 26 septembre 2019) et sera jugé. Son procès se tiendra mercredi le 13 mai, auprès de la section criminelle de la ville où il habite. Alors que les correspondants locaux de la presse ne montrent pas leur communication, tellement ils demeurent dans la criarde médiocrité du mépris.

- Un autre sujet sur ce blog, sur le HIRAK : Hirak à Bordj : 51è Vendredi femmes & jeunes à l'assaut.

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Cherif Ghassoul est passé par la clinique pénitentiaire, dans un état de santé détérioré. Après une grève de la faim pendant plusieurs jours, il a perdu des kilogrammes, lui l'athlète. Une dégradation physique, suite à un recours, comme un coût de couteau car illégal, présenté par le procureur de la République, pour 7 accusations. Pour que quatre crimes et les trois délits, lui soient imputées, dans la parodie de justice de la pire manière avec laquelle s'illustrent le ministre Zeghmati et le pouvoir de Tebboune...  

Finalement seuls 2 délits, qui ne sont pas clairement déterminés, lui sont reprochés avec une insupportable approximation d'arbitraire. La programmation du procès du pour le mercredi 13 mai 2020 devant la section des crimes du tribunal de Bordj Bou arreridj, est très attendue par la population. Il est en prison temporaire depuis plus de 8 mois. 

Voici : Iyed, Mohamed et Anis, les 3 enfants de Chérif.