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samedi 29 août 2020

Dans quel état de salubrité est réellement Bordj-Bou-Arreridj ?

Les habitants des 180 logements, ex Dallas, sur la route de Medjana demandent au wali (préfet) de trouver une solution aux problèmes qu'ils vivent, notamment d'hygiène.

Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI ! 26 août 2020

Le désastre où est la population est de la responsabilité des élus comme l'APC. Mais d'abord les administrés doivent, par dignité, nettoyer leur cadre de vie et environnement. C'est eux qui ont jeté cette saleté, dans cette vidéo.

C'est très convivial et fraternel de coopérer et de préserver leur cité propre. Pour eux et pour leurs enfants, le défaut est de regarder et de ne pas trouver la solution. Puis demander à l'administration d'être propre. 

Le logement dans doit être conforme à un mode de vie fondé sur l'hygiène et le respect, mais ce n'est plus le cas.

Entre hantise, haine et décadence, les administrés sont livrés à la gabegie. La mauvaise gestion des collectivités est une catastrophe en Algérie et la population est désarmée. Alors que la démagogie des responsables à tous les niveaux s'adonne à des protocoles religieux pour masquer les fausses solutions.

La société est désarticulée avec les responsables incompétents. Le problème n'est pas dans l'architecture ou l'urbanisme. Les habitants sont violents et ne peuvent être rapprochés, ni se regrouper sans se porter des bastonnades et des coups. Ils ne peuvent être ensemble et pas mettre la main dans la main pour réparer les choses.

Un peuple qui ne peut rien faire se donne à la religion, sans apporter des solutions à son existence.

mercredi 26 août 2020

Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI !

Bien souvent, les institutions bureaucratisées se fanent et deviennent inactives. Alors les citoyens ripostent, pour donner vie et priorité à la réalisation de ce qui devait être fait par la mairie. 

Merci à Mr Bendjoual. Il redonne un espoir qui dégage le progrès, aux habitants de sa cité. Une idée de grandeur qui existait en Algérie. Que l'incompétente bureaucratie a effacé. 

Un autre sujet : Cadre de vie : main dans la main aux cités 100 et 126 logts, route de Médjana.

Ce qui est du rôle de l'Etat et des appareils des localités se réalise quand il y a de la compétence et du savoir-faire, chez les responsables. 

Ce qui améliore le cadre de vie de tous, mérite du respect.

Voilà, ici un administré de Bordj qui fait un travail associatif et écologique admirable et de grande importance. 

Toute la communauté doit, à cet engagé pour reboiser les artères de la localités, une aide obligée et naturelle.

Bon courage. Je reviendrai pour vénérer ton action qui vaut tous les prix et les respects !

samedi 18 juillet 2020

Décès de Moussa Benhamadi, les parvenus d'une industrie de prédateurs à mentalité rurale (ou bédouine).

Ancien ministre des télécommunications, sous le règne de Bouteflika, précisément lors de l'illégal et inconstitutionnel 4ème mandat, Moussa Benhamadi est décédé. Il est aussi député du faux-FLN , alors que son frère, impliqué dans les affaires de corruption est aussi élu avec le RND. Il a perdu la vie dans la soirée du 17 juillet 2020, du COVID-19 à l'hôpital Mustapha Bacha d'Alger, où il a été transféré depuis 4 jours.


Il a été infecté au Covid-19 à la prison d'El-Harrach où il purgeait, depuis septembre 2019, une peine non encore fixée. Avec 2 de ses autres frères, il est impliqué dans les affaires de diverses formes de corruption.
Des actes qui font mélange, telle que l'est la mafia politico-financière, hommes politiques et investisseurs industriels, tous les deux sans scrupules pour s'accaparer d'immenses richesses.
Donc pour divers délits de détournement de biens publics et prises d'intérêts, l'un d'eux a été relaxé, il s'agit d'Abderrahmane PDG qui a, devant l'opinion publique, la charge du groupe Condor.
Lequel a été empêché dernièrement d'une sortie du territoire nationale, au niveau du passage douanier.
Le régime algérien et sa justice, qui laissent à désirer, préfèrent retenir en otages des membres de même famille, car les justiciables prennent la poudre d'escampette à l'étranger, pour ne subir leurs condamnations.
Jusqu'à son décès en détention préventive, avec ses trois frères, il était impossible et alambiqué de dresser une évaluation, estimée par des expertises indépendantes des médias, à plusieurs milliers de milliards. Les diverses prédations, actes criminels et opérations délictuelles que lui et sa famille avaient effectué et facilement acquis avec l'aval du gang des Bouteflika qui squattait la présidence algérienne depuis 1999, ont plusieurs formes et ont trait généralement aux industries dont l'alimentation et l'électronique.
Lors d'un incendie de l'usine Condor à Bordj-Bou-Arreridj, en plein ramadan 2015, les soupçons d'escroquerie à l'assurance ont été soulevés, mais comme Moussa était ministre de PTT, l'affaire a vite été tassée...
Moussa Benhamadi était poursuivi par une enquête ayant à la corruption liée au groupe Condor Electronics, ayant plusieurs manigances enchevêtrées et difficiles à dénouer. Alors les prises de terrains fonciers sans respect des règles d'aménagement du territoire et détournements de biens publics, sont visiblement assez claires et élucidées.
Notons qu'à l'avènement d'Internet, lors de la dernière décennie du second millénaire (1990 à 2000), les Benhamadi ont été parmi les premiers à avoir introduit un "provider", l'appareil comme un gros ordinateur, qui sert à la connexion pour usage du Web via les 1ers équipements téléphoniques.
Le matériel d'occasion qu'ils ont importé des Etats-Unis où fut leur antécédent contact avec le clan de Bouteflika Abdelaziz, a intrigué les rares ingénieurs qui pouvaient s'exprimer à l'époque, mais rapidement l'histoire a été enterrée par directement la présidence. Puis la technologie a évolué, mettant aux oubliettes cette intrigue de haut-vol !
Alors que la Ministre de l’Industrie et des Mines, Madame Djamila Tamazirt, a succédé, à son homologue, après la dernière équipe de Sellal a été déboulonnée en 2019, par le général Gaïd Salah, elle avait fait une fracassante déclaration à propos du groupe électronique Condor.
Elle avait déclaré : "Condor n'a jamais fabriqué, ou même fait le montage, d'un seul appareil téléphonique localement. Les téléphones portables sont importés de l'étranger et l'étiquette Condor y était collée dessus...", précisa la membre de l'équipe gouvernementale conduite par Bédoui.
Voici son parcours dans les rouages publics, cela n'enlève en rien l'arrivisme surtout dans l'industrie
  • A étudié au lycée Mohamed Kerouani à Sétif.
  • Puis à l'université d'Alger
  • Programmeur informatique à Centre National de Traitement des Données
  • Ingénieur informatique à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
  • Président du Centre de Comptabilité à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
  • Chef de service informatique à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
  • Chef de Département Informatique à Commissariat au Energies Nouvelles
  • Directeur général à cerist
  • Président Directeur Général à Algérie Télécom
  • Ministre des PTT

jeudi 25 juin 2020

Amar Chani & Benchérif le dentiste et violoniste : ils composent...

2 figures emblématiques de l'art et la culture de la localité de Bordj-Bou-Arreridj.
Avec le style ou genre musical propre à la région, où se croisent divers intonations musicales.
Le sétifien (sraoui) et du bédoui revenant au Melhoun...
On reconnait aussi la traversée d'un genre plus diversifié du "raï classique des chouyoukh" auquel Amar Chani a beaucoup donné.
Benchérif, dentiste de métier donc universitaire, qui a montré un grand intéressement, comme d'autres artistes, au terroir local...
A souvent été plus audacieusement un prospecteur du patrimoine de Bordj-Bou-Arreridj.  

jeudi 21 mai 2020

Le procureur requiert 5 ans de prison et 100 000 DA d'amende pour Chérif Ghassoul à BBA.

Le parquet de Bordj a requis 5 ans de prison fermes et cent mille dinars d'amende (10 millions de centimes) à l’encontre du prisonnier d'opinion, Cherif Ghassoul. 2 articles ont été déjà publiés par mes soins, sur la situation de cet administré, père de famille, tombé dans les filets de la répression qui s'installe après Boutef. Le même tribunal se prononcera lors du mois prochain, de juin, sur son cas. Alors que les défenseurs, qui s'expriment sur leur client divulguent de leur côté leur suivi, la source de cet article...

Ce 21 mai 2020, alors que j'écris ce sujet, entre 15 et 17 heures, auprès de l'instance locale de la chambre criminelle, est jugé le jeune Cherif Ghassoul. Il l'est pour appartenance au Hirak. Il est emprisonné depuis août 2019 (déjà 9 mois), sans que l'on se prononce définitivement sur le délit qui lui est reproché. 

Il a grandement contribué à la création du "TIFO", avec principalement des participations diverses de concitoyens de sa ville, l’emblématique Bordj. Et c'est là le fait qui sous-tend la réaction illégale de la justice et de ses sbires aveugles.

Précédent sujet.

Avec des procédures faites selon les injonctions de la bureaucratie et des politicards qui dirigent, il est dit que le verdict sera prononcé en juin, le mois prochain. Mais rien n’est encore sûr, avec tant d'obscure gestion du socle de la république par des magistrats qui ont la conscience noyautée par l’oligarchie. 

Bordj-Bou-Arreridj était un fief de la révolte qui a dit non-au 5ème mandat pour le despote du faux-FLN Bouteflika et dès les premières semaines de 2019. Comme l'est l'ensemble du mouvement Hirak, la spontanéité naissante du sentiment de révolte et de fierté a pris la jeunesse pour qu'elle revendique tant l'expression citoyenne que la fin du régime de l'incompétence et de la corruption.

Dans la radieuse ville qui rayonne sur les hauts plateaux, tant par son économie à vocation technologique que par sa mémoire marquante dans l'histoire algérienne, a été déployée l'une des plus immenses banderoles qu'a connu le pays et même le Monde. 

Avec ce gigantesque étendard est apparu le mot "TIFO" dont l'étymologie revient aux gradins du football italien. Sa signification est établie comme un grand drapeau, contenant une caricature et un slogan.

"Justice du téléphone", disent les critiques de la chose commune.

En effet, balancée depuis le haut d'un immeuble encore en construction, situé au cœur de la ville capitale de la wilaya, l'immense toile revient aux supporteurs de football. Assez ancienne au niveau national, l'équipe locale "CABBA" a déjà suscité une culture juvénile de défoulement pour suivre les compétitions du ballon rond. Car elle joue en 1ère division du championnat algérien. Ses fans ont majoritairement, avec leurs slogans, rejoint le Hirak, sinon ils l'ont lancé. 

Depuis l'exposition de l'ample banderole, des questions ont surgi sur sa confection ? Ses auteurs et son importance de vouloir distinguer la révolte de BBA contre le régime. 

Fortement ancrée dans la société, ce drapeau reste bien une curiosité. Des rumeurs ont parlé d'un financement revenant à des industriels locaux. Et qui sont nombreux. Mais point de leur aide ! 

L'autre fait marquant, du Hirak à BBA, est le repas en plein mois de ramadan 2019, en l'occasion duquel une vache a été sacrifiée dans la pure tradition africaine. Et aussi la provenance de la ressource qui a couvert ce frai est un autre questionnement ? Une autre cotisation, perçue comme financement venant de l'extérieur du pays.

Sur le même citoyen, un autre article.

Les juges qui siègent à Bordj, après des mois qu'ils attendent les résultats de l'enquête qui s'avère être des plus approximatives, ont tranché selon l'arbitraire qui leur est édicté. 

Faute de reprocher à Mr Ghassoul d'avoir soutenu la désobéissance civile qui a permis la chute du despote Bouteflika, les magistrats l'accusent d'être soutenu de l'étranger, voire d'avoir eu de l'argent par une intervention externe au pays.

Comment Chérif a pu être financé de la « main étrangère » comme le suggère le réquisitoire ? Aucune explication n’est étayée. Le procureur, comme déjà des opinions locales, se demande en effet qui a pu procurer tant de moyens au mouvement du Hirak à Bordj ?

Mais le peuple est engagé. La société algérienne peut créer même des miracles, dont celui du départ de Bouteflika est l'exemple illustratif. Son émeute sage et sans discorde obscurantiste démontre pleinement la volonté de changement.

En fait, c’est la seule façon de nier la volonté d’un peuple décidé d’en finir avec gabegie d’un régime systémique. Une justice aveugle et arbitraire. La force de la nouvelle jeunesse connectée via une communication sociétale moderne, n’a même pas besoin de journalistes, qui sont absents pour parler de l’affaire de ce citoyen. C’est une volonté collective incassable.

La population, comme à Bordj, aspire à arrêter le minable pouvoir de la bureaucratie, du « ben-Amisme » et de l’incompétence, celui qui a ruiné l’Algérie qui est enviée pour ses moyens matériels et surtout humains, tel ce militant. 

Du tribunal de BBA. 

jeudi 14 mai 2020

Arbitraire subi par Chérif Ghassoul à BBA

D'emblée, notons qu'il est emprisonné depuis quasiment plus de 8 mois, sans que la justice ait tranché pour son cas. Chérif Ghassoul a rendez-vous, encore une fois pour prolonger ses angoisses, avec les juges, auprès du tribunal de Bordj-Bou-Arréridj, le 21 mai.


Le précédent article publié sur Projet-BBA, que vous pouvez consulter ICI avait annoncé la tenue d'une instance le mai 13 mai. 
Mais voilà que nous apprenons de source bien vérifiée et entrecoupée avec d'autres émanations de l'information, que son affaire connait un nouveau report, au 21 de ce mois de mai.


Le procès de Chérif Ghassoul de Bordj-Bou-Arréridj est vraiment un cas d'école, en matière de dégradation des droits des citoyens.
Ce qui fait redouter, qu'à l'avenir ce genre d'arbitraire va s'accentuer à Bordj, à l'instar de toute l'Algérie. 
Et ce qui passe partout dans d'autres régions et villes du pays démontre clairement qu'un climat d'injustice est encore plus grave qu'au temps de l'ancien régime.
Ce prisonnier d'opinion est présenté devant le tribunal criminel, sans que ne soit vraiment expliquée sa situation qui traîne entre les mains de magistrats sans crédibilité, au regard de la lenteur.

#برج_بعريريج: تأجيل محاكمة معتقل الرأي "شريف غسول" ليوم الخميس 21 ماي 2020 أمام قسم الجنح لمحكمة برج بعريريج ، للذكر تم إعتقاله يوم السبت 24 اوت 2019 ، منذ ذلك اليوم و هو متواجد في الحبس المؤقت اي اكثر من 8 أشهر .

lundi 11 mai 2020

L'athlète Cherif Gassoul sera jugé mercredi prochain à BBA.

En réalité, il n'y a plus d'opinion libre en Algérie. De même qu'il n'y a plus de presse, ou de journalistes, vraiment habités de la bonne conscience professionnelle pour étayer la vérité. Sinon être indépendant des rouages et autres chapelles qui ont ruiné ce grand pays, il y le média qui sert et aide le citoyen qui le regarde avec espoir.

Y compris à Bordj, où personnellement en plein terrorisme au temps de la "décennie noire" (1989/2000) j'avais apporté toutes les vérités, avec mes articles sur Alger-Républicain, El-Watan et Liberté. J'avais comblé un déficit pour la couverture de beaucoup de faits importants. Comme ce jugement de cet administré victime d'injustice, sans que l'on parle... 
Chérif Ghassoul de BBA
- Précédent article : Le 16 avril 2020, 14 citoyens de B.B.A. seront jugés pour le Hirak.

L'arbitraire en Algérie abuse "d'ennemi à la patrie" collé à toute parole libre. Des citoyens sont envoyés en prison pour des accusations fallacieuses. Comme regroupement non-autorisé, ou appel à faire de telles manifestations, ainsi atteinte à la sûreté nationale, sont de vraies atteintes aux libertés démocratiques et citoyennes. 

Tel est le cas de Cherif Ghassoul, sportif d'esprit et engagé à entraîner des jeunes et former son propre physique, par l'haltérophilie et la body-garde qu'il pratique depuis des années. 

Donc c'est dans une indifférence intenable que ce prisonnier d'opinion de Bordj-Bou-Arreridj, est mis aux arrêts depuis le 24 août 2019, (certaines sources disent depuis le 26 septembre 2019) et sera jugé. Son procès se tiendra mercredi le 13 mai, auprès de la section criminelle de la ville où il habite. Alors que les correspondants locaux de la presse ne montrent pas leur communication, tellement ils demeurent dans la criarde médiocrité du mépris.

- Un autre sujet sur ce blog, sur le HIRAK : Hirak à Bordj : 51è Vendredi femmes & jeunes à l'assaut.

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Cherif Ghassoul est passé par la clinique pénitentiaire, dans un état de santé détérioré. Après une grève de la faim pendant plusieurs jours, il a perdu des kilogrammes, lui l'athlète. Une dégradation physique, suite à un recours, comme un coût de couteau car illégal, présenté par le procureur de la République, pour 7 accusations. Pour que quatre crimes et les trois délits, lui soient imputées, dans la parodie de justice de la pire manière avec laquelle s'illustrent le ministre Zeghmati et le pouvoir de Tebboune...  

Finalement seuls 2 délits, qui ne sont pas clairement déterminés, lui sont reprochés avec une insupportable approximation d'arbitraire. La programmation du procès du pour le mercredi 13 mai 2020 devant la section des crimes du tribunal de Bordj Bou arreridj, est très attendue par la population. Il est en prison temporaire depuis plus de 8 mois. 

Voici : Iyed, Mohamed et Anis, les 3 enfants de Chérif.

samedi 11 avril 2020

Le 16 avril 2020, 14 citoyens de B.B.A. seront jugés pour le Hirak.

Le jugement aura lieu le 16 avril 2020. Il ne faut pas qu'échappe à l'intention des habitants de cette localité, cette promulgation de sentence. Elle sera donnée à des justiciables qui n'ont rien à se reprocher. Au nom de la république et du peuple, notamment pour le compte des habitants de l'entité territoriale que beaucoup de ses enfants la servent d'une manière ou d'une autre, leur condamnation ne devait être faite avec l'excès de zèle et telle une mince affaire.

Vous trouverez à la fin de cet article les noms (en langue arabe) et quelques photos des concernés. 

Devenue un symbole dans le développement économique, telle même une capitale de l'industrie au niveau du Maghreb, Bordj-Bou-Arréridj est aussi connu, comme une pouponnière des révoltés et autres rebelles qui adoptent massivement les causes justes et qui ne manquent pas de significations.
On ne manquera jamais de rappeler que cette bourgade dut le principal fief historique de la mémorielle insurrection d'El-Mokrani en 1871. Et dont nous le 150ème anniversaire l'année prochaine.  
A cheval entre l'est et l'ouest ainsi que pour le nord et le sud de l'Algérie, BBA fut une école dans le parcours du mouvement nationale. 
Lors de la guerre de libération, pour laquelle ont été enfantés des hommes et des femmes, dont les noms sont gravés dans le marbre des plus forts et reluisant de l'Histoire nationale, l'empreinte est marquante. L'agglomération fut lieu d'escale de Si Larbi Benmhidi, d'Ibn-Badis, de Messali El-hadj, de Mohamed Boudiaf et de bien des personnages d'envergure inégalée dans les cumuls d'un pays allant au rayonnement, comme un épicentre des indépendances.
Je citerai, pour la gente féminine, Aïcha Hadad et Mouny Zioui qui, cette dernière, nous a quitté en 2019 à Alger, soeur du martyr Mohamed qui a donné l'appellation d'un stade de la capitale Alger. 
Et parmi les hommes, Abdelmadjid Aouchiche ou bien Chawki Mostefaï qui, même natif de M'sila, revient à cette ville dont l'urbanité édifie bien ses propres et belles légendes.
Jusqu'aux événements du Hirak dont le long souffle a parcouru les années 2019 et 2020, Bordj-Bou-Arreridj, à travers les actions de ses habitants, participe à la vie nationale. 
Et j'appréhende qu'à foison, dans les réseaux sociaux du Web, les discussions sont d'une richesse inouïe via les clubs et groupes du rapprochement qui se réalise entre les citoyens. 
Ils seront donc devant des magistrats, ces 14 citoyens qui seront jugés leur opinion assoiffée de liberté. Le jeudi 16 avril 2020 devant la section des crimes du tribunal de Bordj Bou Arreridj, l'affaire pour laquelle ont été déposés relève du mouvement de grande ampleur, auquel la mobilisation revendique une autre Algérie. Plus moderne, plus juste et plus mieux gérée.

 
       
 Les articles de POPULI-SCOOP sur le HIRAK ICI
Une autre histoire du Hirak, à Bordj. ICI
Et une autre, tout au début en mars 2019. ICI
1 شمس الدين لعلامي المدعو براهيم

2 عباش عبد الرزاق
3 عزالدين بن بلخير
4 بوطبة عزالدين
5عبد الحق شماني
6 توفيق ميسور
7 يازيد ميسور
8 زايد عبد النور
9 بلفروم نصر الدين
10 زايدي خير الدين
11 ناصر اربوش
12 بلال بورحلي
13 صيد خميسي
14-مقراني منير
15- مسينيسا

mercredi 4 mars 2020

Coronavirus à Birkasdali, ALERTE.

Voici une note interne de l'administration de la wilaya. Soupçon du 1er cas de #Coronavirus dans une commune #Birkasdali de #BodrjBouArreridj #Algeria image de l'alerte de la Wilaya.


Aucune description de photo disponible.

mardi 11 février 2020

Hirak à Bordj : 51è Vendredi femmes & jeunes à l'assaut.

Bordj-Bou-Arréridj s'est remarquée lors de la révolte de 2019 en Algérie. Dans le soulèvement de la population,  particulièrement de la jeunesse comme s'est produit à travers le territoire national, cette ville s'est distinguée d'une inégalée mobilisation. Le fief d'El-Mokrani respire  en profondeur, depuis qu'il existe comme agglomération semi-urbaine, le tumulte de l'Histoire du pays. Une mémoire qui s'écrit, chaque jour plus clairement avec l'avancée du temps, à l'encre des luttes.

Ces vidéos, du 51é vendredi à Bordj-Bou-Arréridj, relatent comment les jeunes et les femmes foncent sur le barrage de la police.
A l'occasion de la 51ème semaine de ce mouvement social qui renoue avec le romantisme révolutionnaire, ma contribution présume apporter un éclairage tant théorique que factuel. C'est-à-dire dessiné à partir des faits qui eux sont fortement significatifs.

Les jeunes et les femmes de Bordj se sont trouvés, le vendredi 8 février, face à un barrage des policiers, dressé pour limiter la marche. Mais les manifestants ne l'ont pas entendu de la sorte. Ils ont chargé, donnant l'assaut sur les boucliers des policiers qui finalement cédèrent devant la déferlante.

La doctrine ou bien l'analyse de ces événements qui transgressent la léthargie endiguant l'expression pleine de la citoyenneté, se limite à cette définition : Le Hirak est une émeute paisible, contre la médiocrité et la corruption qui sont à l'origine d'une gouvernance ruineuse. Laquelle est rejetée par ceux qui se préoccupent de leur avenir, les jeunes !

Tandis que la tournure du 51éme vendredi, duquel plusieurs citoyens se sont montrés étonnés de la force de la base populaire qui l'a encore cette fois mené, montre que la mobilisation est bien ancrée. Le peuple est plus décidé que jamais pour réduire à néant les problèmes qui ne laissent pas l'Algérie se développer, en libérant les mentalités de la grande hypocrisie.

Source de ce sujet, des citoyens témoins et acteurs des faits.

Les articles de POPULI-SCOOP¨sur le HIRAK.
Une autre histoire du Hirak, à Bordj. ICI
Et une autre, tout au début en mars 2019. ICI

Page Facebook de Bordj-Bou-Arreridj

mercredi 20 mars 2019

Karim Tabou chahuté à Bordj-Bou-Arréridj, sa conférence empêchée.

L'ancien cadre du FFS devait tenir une conférence à Bordj-Bou-Arréridj, le 19 mars 2018. Mais le public lui a été hostile. Elle n'a pas eu lieu !

Karim Tabou s'est fait remarquer, lors de la révolte contre le 5ème mandat de Bouteflika, avec une défense des islamistes, de l'ex-FIS. Ces derniers sont les commanditaires du terrorisme de la décennie noire en Algérie. Et même il a osé défendre une république islamiste, en dernier ressort.

Son parti, le FFS, a pris les armes en 1963, pour faire opposition au "groupe d'Oujda" qui a pris le pouvoir en Algérie, avec des complots.

Puis le même parti a défendu les islamistes qui prônaient le terrorisme islamiste, surtout dès 1990. Il a été parmi les initiateurs de la rencontre dans l'église italienne de Sant-Angidio. Où se sont rassemblés les réactionnaires algériens, dont le faux FLN de Mehri et le PT de Louiza Hanoun, pour sauver le parti islamiste FIS, actuellement dissout par voie de justice.

Page Facebook de Bordj-Bou-Arreridj

vendredi 13 juillet 2018

Djamel Béghal désire, avec les autorités françaises, un retour en Algérie !

Les discussions entre l'Algérie et la France vont bon train, à propos de l'expulsion de Djamel Beghal dont la sortie embarrassante de prison est prévue pour le 16 juillet. 
Selon des officiels français, dont le président du groupe "La République en Marche", le parti majoritaire du président Emmanuel Macron, à l’Assemblée nationale qui a été l'invité de l’émission "Questions d’info" de la chaîne parlementaire "LCP" à laquelle participe l'hebdomadaire "Le Point" et l'agence "AFP", un compromis a été trouvé, avec l'Algérie, pour refourguer le dangereux terroriste, passé maître dans la manipulation des activistes.
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Député du Finistère, Mr Richard Ferrand s'est exprimé au nom du ministère chargé de la diplomatie, appelé "Ministère de l'Europe et des affaires étrangères" qui lui n'a pas confirmé que l'approbation des autorités algériennes, pour accueillir cet impénitent islamiste au parcours des plus sombres, est acquise.

La garde des seaux, madame Nicole Belloubet de son côté, n'a pas confirmé l'expédition de Béghal, qui a été déchu de la nationalité française malgré ses quatre enfants avec une épouse autochtone de l'hexagone, vers son pays d'origine. La ministre reste reste sceptique et espère que l'acceptation de l'Algérie pouvait être approuvée d'ici la relaxation... 

Lire notre précédent sujetpour se faire une idée de qui est Djamel Beghal. Où nous avons bien précisé que le retour en Algérie est parmi les visées de l'intéressé.

Dernièrement des liens, de cet algérien avec Amédy Coulibaly et les frères Kouachi, ont été rendus publics d'une manière à ne pas être niés ou démentis. Le premier est l'auteur de la tuerie criminelle de l'épicerie de la porte de Vincennes, comme y figurent les deux sur cette photo : 
Photo de l'agence Sipa-presse.
Et les seconds, sur cet autre photo avec l'un des deux frères Kouachi, Saïd, sont les auteurs de l'attentat du journal satirique Charlie-Hebdo où 11 personnes ont trouvées la mort, dont 8 membres de la rédaction :  


Dans les milieux islamo-terroristes de France, Djamel Beghal a été derrière nombreuses affaires. Il s'est fait un profil de théologien, que son séjour en Afghanistan, comme nous l'avons décrit dans notre précédent article, il a bénéficié d'une formation paramilitaire, tout juste sommaire.

De réputation sulfureuse, ce chantre de l'obscurantisme est un risque, à ne pas prendre à la légère, pour l'Algérie...