mardi 23 mars 2021

كوندور : تطلق عملية تصدير بقيمة 1.3 مليون دولار نحو تونس وليبيا ¤¤=¤¤ Exportation appréciable de Condor Algérie vers la Libye et la Tunisie ...

Le samedi 20 mars 2021, je suis tombé sur cette vidéo. Elle relate la dynamique économique qui s'accroche, en dépit des difficultés, à persister dans la voie des échanges et de la production.
 
Condor Algérie dit avoir un programme d'exportation vers la Tunisie et la Libye de de 1.3 million de dollars. Ce qui est un acte économique majeur, en ces temps moroses où l'Algérie se dirige droit à l'assèchement du pétrole et son abandon comme première énergie.

L'opération s'étale sur un mois, d'après une source de l'entreprise même qui est basée principalement à Bordj-Bou-Arreridj.
Il s'agit de 50 conteneurs déjà préparés ou en route, sur un total de 92. 


Sur l'autre plan d'une importance non moindre de l'emploi, Condor ouvre de nouvelles perspectives, d'après le même post trouvé sur les réseaux sociaux. Pas moins de 2000 collaborateurs seront recrutés dans les mois a venir à l’occasion de lancement de nouvelles investissements, ce qui est un engagement qui reste à vérifier.

vendredi 19 mars 2021

Que démontre l'industrialisation de Bordj-Bou-Arreridj comme émergence économique ?

Je suis tombé sur une thèse universitaire de Bordj-Bou-Arreridj, reçue le 25 décembre 2020 par l'établissement et publiée en janvier 2021, que je considère intéressante à la lumière de l'industrialisation que connait Bordj-Bou-Arreridj. 


Son titre : Expérience du centre universitaire d'entrepreneuriat de Bordj Bou-Arreridj, dans le soutien et l'incubation des petites entreprises en Algérie.

Elle est du travail du professeur Rahim Hocine, du Département des sciences économiques, de Université Bordj Bou-Arreridj, Algérie. J'ai déjà publié des sujets du genre à couvrir l'activité économique...

Elle explore et analyse la politique algérienne dans le domaine de l'appui à la mise en place de micro-entreprises. Dans ce cas la maison d'entrepreneuriat de l'Université de Bordj Bou-Arreridj qui devait être en lien avec le tissu économique de la région, devait nous instruire sur ce qui est réalisé. La fiabilité des possibilités créées ainsi que les perspectives d'avenir devaient être au moins comprises.

Depuis environ deux décennies, les pouvoirs publics algériens ont adopté un ensemble de mécanismes et de mesures pour soutenir le secteur des entreprises. Alors ce travail universitaire tente de dresser le rapprochement entre les formations et ces unités qui naissent sur la base de la politique de l'emploi et de la satisfaction des besoins nationaux.

Textes législatifs et réglementaires favorables, décisions administratives facilitantes les procédures ainsi que des exemptions comme incitations financières ont poussé à la création de nombreuses entreprises au niveau national. Et Bordj-Bou-Arreridj est une wilaya gagnante dans ce domaine.

Ce travail de recherche est concentré sur l'expérience d'accompagnement des étudiants universitaires pour lancer leurs projets. Chose ou bien expérience qui est dite établie au niveau de certaines universités algériennes, dans le but de dispenser des cours de formation aux étudiants intéressés sur la façon de créer et de gérer des projets. Ainsi que l'orientation de leur esprit d'entreprise. Cette étude prend comme exemple la Maison contractante de l'Université de al-Bashir Brahimi, de Borj Bou Arreridj.

à suivre

vendredi 12 mars 2021

Le contexte de misère qui engendra la révolte.

Suite du précédent sujet : Il un siècle et demi, El-Bachagha Mokrani mena la révolte.

La fin de l'insurrection d'El-Mokrani, vraisemblablement définitivement le 14 mai 1871, a ouvert définitivement grandes les portes à la colonisation de peuplement. Un nouveau s'est instauré où l'autochtone est réduit à être sous-citoyen. 


Car la soldatesque française et ses sbires de l'administration ne se sont plus confrontées à des révoltes et autres récalcitrantes majeures oppositions empêchant l'œuvre d'effacement de l'identité locale. 

Au point de vue politique et social, ce fut cependant un événement majeur. Certains historiens ont dévoyé l'interprétation de ces faits historiques et fondateurs d'une personnalité résistante à l'invasion. 

Dans le Constantinois, il s'en est sui la répression qui porta un coup décisif à ce qui est féodalité indigène qui a été héritée du régime ottoman. Son modèle cessa définitivement d’être une force véritable. Son modèle laissa place à l'évènement de la modernité que le 20ème siècle a implacablement apportée.

En dépit que cette occupation a démantelé les tribus qui s'entredéchiraient sur des visions sectaires, claniques, familiales et archaïques de féodalité, sa violence causa un traumatisme qui s'est gravé dans la mémoire psychique de la collectivité humaine qui se l'est transmis à travers plusieurs générations. 

Selon des observations relatées à l'époque dans les annales de France, la majeure partie des populations d’Algérie refusa de suivre le mouvement d'El-Mokrani. Les Indigènes sont restés fidèles à l'avènement d'une présence qui avaient des signes de différence. Certains prirent même part importante à la lutte contre les insurgés, afin de marquer un intéressement de découverte des us européens.

Pendant deux ans, après les combats, les tribunaux jugèrent un grand nombre d’accusés. Le plus souvent les procès avaient de flagrantes incohérences. Mais dans l’ensemble, selon Louis Rinn (historien, voir document illustration à la fin de l'article sur la généalogie de la famille Mokrani), des indulgences étaient prononcées. 

Pour les jurés, sans doute, les véritables coupables étaient moins les révoltés que le régime militaire. Dont les Bureaux arabes qui n'avaient pas joué leur rôle de médiation. On parla des « procès des témoins militaires » qui accablaient les révoltés. Cependant les exécutions furent rares. Condamné à mort, Bou Mezrag eut sa peine commuée en transportation à la Nouvelle-Calédonie. Et il fut, plus tard, gracié après avoir participé à la répression de l’insurrection canaque de 1878.

Pour les chercheurs qui veulent enrichir leurs documentations sur ce sujet de l'insurrection de 1871,  L. Duchesne , Assemblée Nationale, 1872, un rapport fait au nom de la commission d’enquête sur les actes du gouvernement de la Défense nationale. Algérie. Versailles, Cerf, 1875, 2 vol. in 4 e ; I, Rapport, 912 p. ; II, Dépositions des témoins, 297 p. Et la 2e édition en 1876.



jeudi 11 mars 2021

Il un siècle et demi, El-Bachagha Mokrani mena la révolte.

En l'occasion des 150 ans de l'insurrection du Bachagha El-Mokrani (1871 / 2021), les habitués de mes articles peuvent s'attendre à un certain renouveau. 

Outre que la France vient de déclarer ouvrir ses archives, la préparation du nouveau sujet, sur El-Mokrani, est puisé de recherches et documenté d'archives que j'ai pu glaner de certains rares contenus numériques du Web.

Vers 1850, Mokrani (le père Khalifa Ahmed) cumule d'importants droits féodaux et domaniaux. Il dispose aussi d'attributions administratives, judiciaires, militaires et financières revenant au protectorat ottoman. 

Puis au fil des ans de la présence français, l'Empire colonial le dépouille de ses prérogatives et le place sous la tutelle d'un simple officier, le capitaine Olivier. Les lois de spoliation des autochtones de leurs terres ont été promulguées en 1860 (Wanier) et plus lourdement "Senatus-Consult" en 1870.

Suprême avanie, il doit, comme le fellah, verser au trésor l'achour et le zekkat, deux impôts en nature. 

mardi 1 décembre 2020

Suite du procès, Sellal et Ouyahia écopent de 5 ans et amende dans l'octroi d'avantages à Condor.

Suite du précédent article...


Le Groupe "Condor" des Benhamadi aurait également bénéficié de facilitations illégales accordées par Ouyahia et Sellal, ce qui ressort de la finalité du procès du 30 novembre 2020.

Ces avantages dans la réalisation d’un centre dédié aux brûlés à Skikda, par la société « Travocovia », une des filiales du Groupe Condor, qui travaille dans la réalisation, construction de bâtiments, de projets. "Brûlés" concerne les malades atteints gravement d'incendies.

L’abus de fonction lors de la conclusion de plusieurs marchés avec l’opérateur public de téléphonie mobile Mobilis pour l’acquisition de téléphones portables et tablettes auprès du groupe Condor, est aussi indiqué dans ce jugement.

Le verdict du tribunal de Sidi M’hamed (Alger) est tombé. Avec la condamnation des anciens Premiers ministres Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal à des peines respectives de cinq ans de prison ferme.

Elles sont aussi assortie d’une amende de 2 millions de DA, dont 01 million pour le trésor public. Les deux anciens chefs de l’exécutif sont poursuivis pour l’octroi d’indus privilèges aux frères Benhamadi, propriétaires du Groupe Condor.

Ouyahia et Sellal sont accusés d’octroi de privilèges injustifiés au Groupe Condor et ses filiales, dont des facilitations pour la réalisation d’une usine de fabrication de médicaments « GP Pharma » dans la nouvelle ville de Sidi Abdallah, de la wilaya d'Alger.

Laquelle entité de fabrication de médicaments était gérée par l’ancien ministre de la Poste et des Technologies, Moussa Benhamadi, décédé en juillet dernier à la prison d’El Harrach, des suites de la Covid-19.

vendredi 20 novembre 2020

Les Benhamadi de Condor bénéficiaient de privilèges octroyés par sellal et Ouyahia

Quand la famille Benhamadi a invité Chekib Khelil à Bordj, pour une conférence dans son hôtel, le public a boycotté la présence du plus grand des corrompus des ministres et ami Bouteflika. C'était une fierté de la ville récalcitrante, qui attire bien des regards pour l'émergence économique que cette cité recèle. Mais Sellal et Ouyahia, pour le 5ème mandat, avaient donné des facilités aux boss de Condor.

Et quand j'ai publié un précédent article sur le décès de Moussa Benhamadi, où j'ai aussi repris sa carrière, nombreux lecteurs se sont fixés sur les malversations que j'ai citées. Il était question d'une ministre de l'industrie, Mme Djamila Tamazirt, du dernier gouvernement Bedoui qui a révélé que la société Condor n'a jamais fabriqué de téléphone en Algérie. Les appareils sont importés et les étiquettes du label sont collées dessus. Alors que le produit était considéré du pure prouesse et du génie local. 


Tribunal de Sidi-M'Hamed à Alger, Ouyahia, Sellal et les frères Benhamadi, donnant-donnant pour le 5ème mandat freiné de Bouteflika.

Voilà que la justice se prononce à l'expropriation de tous les biens appartenant aux accusés, à savoir les Benhamadi et les deux chefs du gouvernement Sellal et Ouyahia, dans ce qui a uniquement trait à l'affaire traité par le  non moins renommé tribunal algérois de Sidi-M'Hamed.

Dans le sinuosité de l'affaire des frères Benhamadi, le Procureur de la République près tribunal de Sidi M'hammed à Alger, exposée dans cette dépêche de l'APS, a mis au clair la nature de l'intelligence du crime économique. Il s'agit d'octroi d'indus privilèges, par les anciens chefs des gouvernements Ouyahia et Sellal, à la famille d'entrepreneurs de Bordj. 

Les membres de cette dernière sont poursuivis pour avoir contribué au financement de la campagne électorale de l'ancien président, Abdelaziz Bouteflika, lequel avait un gang qui planchait, becs et ongles, sur un 5ème anticonstitutionnel et illégal mandat. A travers un compte bancaire ouvert spécialement pour recevoir des contributions financières de la part de parties qui n'avaient aucun rapport avec les élections, entendre l'entreprise Condor, parmi les autres gangs ou "3issabates".

La prédation économique, du Groupe Condor, s'effectuait par la filiale "Travocovia" qui a également bénéficié de facilitations illégales par Ouyahia et Sellal. Elle a été dissoute depuis. Cette mise à disposition, des plus corrompues, consiste en la réalisation d’un centre dédié aux brûlés à Skikda.

L'agence de presse publique, a précisé que les deux responsables de l'exécutif Ouyahia et Sellal sont accusés d'octroi de privilèges injustifiés au Groupe Condor et à ses filiales. Pour ces méfaits, le réquisitoire a demandé 10 ans d'emprisonnement, qui ne sont les seules décennies en incarcération. Ou bien les uniques préjudices reprochés à ces bureaucrates.

Cette fois, précisément il s'agit de facilitations pour la réalisation d'une usine de fabrication de médicaments ''GP Pharma" dans la ville nouvelle de Sidi Abdallah (ouest d'Alger). Laquelle était directement gérée par l'ancien ministre de la Poste et des Technologies, Moussa Benhamadi, décédé en juillet dernier à la prison d'El Harrach, des suites de la Covid-19.

Si le représentant de la partie publique a présenté son réquisitoire aux responsables, envers les Benhamadi, il n'est pas question, à ce stade, que de demander la saisie ce qui en rapport avec la campagne électorale et les privilèges des sociétés de pharmacie à Alger et de "Travocovia" à Skikda.

Le reste de l'entreprise Condor n'étant pas encore touché. La justice a préféré libérer un des frères Benhamadi, afin que la somptueuse entreprise ne coule pas. 

samedi 29 août 2020

Dans quel état de salubrité est réellement Bordj-Bou-Arreridj ?

Les habitants des 180 logements, ex Dallas, sur la route de Medjana demandent au wali (préfet) de trouver une solution aux problèmes qu'ils vivent, notamment d'hygiène.

Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI ! 26 août 2020

Le désastre où est la population est de la responsabilité des élus comme l'APC. Mais d'abord les administrés doivent, par dignité, nettoyer leur cadre de vie et environnement. C'est eux qui ont jeté cette saleté, dans cette vidéo.

C'est très convivial et fraternel de coopérer et de préserver leur cité propre. Pour eux et pour leurs enfants, le défaut est de regarder et de ne pas trouver la solution. Puis demander à l'administration d'être propre. 

Le logement dans doit être conforme à un mode de vie fondé sur l'hygiène et le respect, mais ce n'est plus le cas.

Entre hantise, haine et décadence, les administrés sont livrés à la gabegie. La mauvaise gestion des collectivités est une catastrophe en Algérie et la population est désarmée. Alors que la démagogie des responsables à tous les niveaux s'adonne à des protocoles religieux pour masquer les fausses solutions.

La société est désarticulée avec les responsables incompétents. Le problème n'est pas dans l'architecture ou l'urbanisme. Les habitants sont violents et ne peuvent être rapprochés, ni se regrouper sans se porter des bastonnades et des coups. Ils ne peuvent être ensemble et pas mettre la main dans la main pour réparer les choses.

Un peuple qui ne peut rien faire se donne à la religion, sans apporter des solutions à son existence.

mercredi 26 août 2020

Le volontariat bien inspiré d'un militant de la verdure à Bordj, MERCI !

Bien souvent, les institutions bureaucratisées se fanent et deviennent inactives. Alors les citoyens ripostent, pour donner vie et priorité à la réalisation de ce qui devait être fait par la mairie. 

Merci à Mr Bendjoual. Il redonne un espoir qui dégage le progrès, aux habitants de sa cité. Une idée de grandeur qui existait en Algérie. Que l'incompétente bureaucratie a effacé. 

Un autre sujet : Cadre de vie : main dans la main aux cités 100 et 126 logts, route de Médjana.

Ce qui est du rôle de l'Etat et des appareils des localités se réalise quand il y a de la compétence et du savoir-faire, chez les responsables. 

Ce qui améliore le cadre de vie de tous, mérite du respect.

Voilà, ici un administré de Bordj qui fait un travail associatif et écologique admirable et de grande importance. 

Toute la communauté doit, à cet engagé pour reboiser les artères de la localités, une aide obligée et naturelle.

Bon courage. Je reviendrai pour vénérer ton action qui vaut tous les prix et les respects !

samedi 18 juillet 2020

Décès de Moussa Benhamadi, les parvenus d'une industrie de prédateurs à mentalité rurale (ou bédouine).

Ancien ministre des télécommunications, sous le règne de Bouteflika, précisément lors de l'illégal et inconstitutionnel 4ème mandat, Moussa Benhamadi est décédé. Il est aussi député du faux-FLN , alors que son frère, impliqué dans les affaires de corruption est aussi élu avec le RND. Il a perdu la vie dans la soirée du 17 juillet 2020, du COVID-19 à l'hôpital Mustapha Bacha d'Alger, où il a été transféré depuis 4 jours.


Il a été infecté au Covid-19 à la prison d'El-Harrach où il purgeait, depuis septembre 2019, une peine non encore fixée. Avec 2 de ses autres frères, il est impliqué dans les affaires de diverses formes de corruption.
Des actes qui font mélange, telle que l'est la mafia politico-financière, hommes politiques et investisseurs industriels, tous les deux sans scrupules pour s'accaparer d'immenses richesses.
Donc pour divers délits de détournement de biens publics et prises d'intérêts, l'un d'eux a été relaxé, il s'agit d'Abderrahmane PDG qui a, devant l'opinion publique, la charge du groupe Condor.
Lequel a été empêché dernièrement d'une sortie du territoire nationale, au niveau du passage douanier.
Le régime algérien et sa justice, qui laissent à désirer, préfèrent retenir en otages des membres de même famille, car les justiciables prennent la poudre d'escampette à l'étranger, pour ne subir leurs condamnations.
Jusqu'à son décès en détention préventive, avec ses trois frères, il était impossible et alambiqué de dresser une évaluation, estimée par des expertises indépendantes des médias, à plusieurs milliers de milliards. Les diverses prédations, actes criminels et opérations délictuelles que lui et sa famille avaient effectué et facilement acquis avec l'aval du gang des Bouteflika qui squattait la présidence algérienne depuis 1999, ont plusieurs formes et ont trait généralement aux industries dont l'alimentation et l'électronique.
Lors d'un incendie de l'usine Condor à Bordj-Bou-Arreridj, en plein ramadan 2015, les soupçons d'escroquerie à l'assurance ont été soulevés, mais comme Moussa était ministre de PTT, l'affaire a vite été tassée...
Moussa Benhamadi était poursuivi par une enquête ayant à la corruption liée au groupe Condor Electronics, ayant plusieurs manigances enchevêtrées et difficiles à dénouer. Alors les prises de terrains fonciers sans respect des règles d'aménagement du territoire et détournements de biens publics, sont visiblement assez claires et élucidées.
Notons qu'à l'avènement d'Internet, lors de la dernière décennie du second millénaire (1990 à 2000), les Benhamadi ont été parmi les premiers à avoir introduit un "provider", l'appareil comme un gros ordinateur, qui sert à la connexion pour usage du Web via les 1ers équipements téléphoniques.
Le matériel d'occasion qu'ils ont importé des Etats-Unis où fut leur antécédent contact avec le clan de Bouteflika Abdelaziz, a intrigué les rares ingénieurs qui pouvaient s'exprimer à l'époque, mais rapidement l'histoire a été enterrée par directement la présidence. Puis la technologie a évolué, mettant aux oubliettes cette intrigue de haut-vol !
Alors que la Ministre de l’Industrie et des Mines, Madame Djamila Tamazirt, a succédé, à son homologue, après la dernière équipe de Sellal a été déboulonnée en 2019, par le général Gaïd Salah, elle avait fait une fracassante déclaration à propos du groupe électronique Condor.
Elle avait déclaré : "Condor n'a jamais fabriqué, ou même fait le montage, d'un seul appareil téléphonique localement. Les téléphones portables sont importés de l'étranger et l'étiquette Condor y était collée dessus...", précisa la membre de l'équipe gouvernementale conduite par Bédoui.
Voici son parcours dans les rouages publics, cela n'enlève en rien l'arrivisme surtout dans l'industrie
  • A étudié au lycée Mohamed Kerouani à Sétif.
  • Puis à l'université d'Alger
  • Programmeur informatique à Centre National de Traitement des Données
  • Ingénieur informatique à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
  • Président du Centre de Comptabilité à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
  • Chef de service informatique à Centre National des Sciences et Technologies Nucléaires
  • Chef de Département Informatique à Commissariat au Energies Nouvelles
  • Directeur général à cerist
  • Président Directeur Général à Algérie Télécom
  • Ministre des PTT

jeudi 25 juin 2020

Amar Chani & Benchérif le dentiste et violoniste : ils composent...

2 figures emblématiques de l'art et la culture de la localité de Bordj-Bou-Arreridj.
Avec le style ou genre musical propre à la région, où se croisent divers intonations musicales.
Le sétifien (sraoui) et du bédoui revenant au Melhoun...
On reconnait aussi la traversée d'un genre plus diversifié du "raï classique des chouyoukh" auquel Amar Chani a beaucoup donné.
Benchérif, dentiste de métier donc universitaire, qui a montré un grand intéressement, comme d'autres artistes, au terroir local...
A souvent été plus audacieusement un prospecteur du patrimoine de Bordj-Bou-Arreridj.  

jeudi 21 mai 2020

Le procureur requiert 5 ans de prison et 100 000 DA d'amende pour Chérif Ghassoul à BBA.

Le parquet de Bordj a requis 5 ans de prison fermes et cent mille dinars d'amende (10 millions de centimes) à l’encontre du prisonnier d'opinion, Cherif Ghassoul. 2 articles ont été déjà publiés par mes soins, sur la situation de cet administré, père de famille, tombé dans les filets de la répression qui s'installe après Boutef. Le même tribunal se prononcera lors du mois prochain, de juin, sur son cas. Alors que les défenseurs, qui s'expriment sur leur client divulguent de leur côté leur suivi, la source de cet article...

Ce 21 mai 2020, alors que j'écris ce sujet, entre 15 et 17 heures, auprès de l'instance locale de la chambre criminelle, est jugé le jeune Cherif Ghassoul. Il l'est pour appartenance au Hirak. Il est emprisonné depuis août 2019 (déjà 9 mois), sans que l'on se prononce définitivement sur le délit qui lui est reproché. 

Il a grandement contribué à la création du "TIFO", avec principalement des participations diverses de concitoyens de sa ville, l’emblématique Bordj. Et c'est là le fait qui sous-tend la réaction illégale de la justice et de ses sbires aveugles.

Précédent sujet.

Avec des procédures faites selon les injonctions de la bureaucratie et des politicards qui dirigent, il est dit que le verdict sera prononcé en juin, le mois prochain. Mais rien n’est encore sûr, avec tant d'obscure gestion du socle de la république par des magistrats qui ont la conscience noyautée par l’oligarchie. 

Bordj-Bou-Arreridj était un fief de la révolte qui a dit non-au 5ème mandat pour le despote du faux-FLN Bouteflika et dès les premières semaines de 2019. Comme l'est l'ensemble du mouvement Hirak, la spontanéité naissante du sentiment de révolte et de fierté a pris la jeunesse pour qu'elle revendique tant l'expression citoyenne que la fin du régime de l'incompétence et de la corruption.

Dans la radieuse ville qui rayonne sur les hauts plateaux, tant par son économie à vocation technologique que par sa mémoire marquante dans l'histoire algérienne, a été déployée l'une des plus immenses banderoles qu'a connu le pays et même le Monde. 

Avec ce gigantesque étendard est apparu le mot "TIFO" dont l'étymologie revient aux gradins du football italien. Sa signification est établie comme un grand drapeau, contenant une caricature et un slogan.

"Justice du téléphone", disent les critiques de la chose commune.

En effet, balancée depuis le haut d'un immeuble encore en construction, situé au cœur de la ville capitale de la wilaya, l'immense toile revient aux supporteurs de football. Assez ancienne au niveau national, l'équipe locale "CABBA" a déjà suscité une culture juvénile de défoulement pour suivre les compétitions du ballon rond. Car elle joue en 1ère division du championnat algérien. Ses fans ont majoritairement, avec leurs slogans, rejoint le Hirak, sinon ils l'ont lancé. 

Depuis l'exposition de l'ample banderole, des questions ont surgi sur sa confection ? Ses auteurs et son importance de vouloir distinguer la révolte de BBA contre le régime. 

Fortement ancrée dans la société, ce drapeau reste bien une curiosité. Des rumeurs ont parlé d'un financement revenant à des industriels locaux. Et qui sont nombreux. Mais point de leur aide ! 

L'autre fait marquant, du Hirak à BBA, est le repas en plein mois de ramadan 2019, en l'occasion duquel une vache a été sacrifiée dans la pure tradition africaine. Et aussi la provenance de la ressource qui a couvert ce frai est un autre questionnement ? Une autre cotisation, perçue comme financement venant de l'extérieur du pays.

Sur le même citoyen, un autre article.

Les juges qui siègent à Bordj, après des mois qu'ils attendent les résultats de l'enquête qui s'avère être des plus approximatives, ont tranché selon l'arbitraire qui leur est édicté. 

Faute de reprocher à Mr Ghassoul d'avoir soutenu la désobéissance civile qui a permis la chute du despote Bouteflika, les magistrats l'accusent d'être soutenu de l'étranger, voire d'avoir eu de l'argent par une intervention externe au pays.

Comment Chérif a pu être financé de la « main étrangère » comme le suggère le réquisitoire ? Aucune explication n’est étayée. Le procureur, comme déjà des opinions locales, se demande en effet qui a pu procurer tant de moyens au mouvement du Hirak à Bordj ?

Mais le peuple est engagé. La société algérienne peut créer même des miracles, dont celui du départ de Bouteflika est l'exemple illustratif. Son émeute sage et sans discorde obscurantiste démontre pleinement la volonté de changement.

En fait, c’est la seule façon de nier la volonté d’un peuple décidé d’en finir avec gabegie d’un régime systémique. Une justice aveugle et arbitraire. La force de la nouvelle jeunesse connectée via une communication sociétale moderne, n’a même pas besoin de journalistes, qui sont absents pour parler de l’affaire de ce citoyen. C’est une volonté collective incassable.

La population, comme à Bordj, aspire à arrêter le minable pouvoir de la bureaucratie, du « ben-Amisme » et de l’incompétence, celui qui a ruiné l’Algérie qui est enviée pour ses moyens matériels et surtout humains, tel ce militant. 

Du tribunal de BBA. 

mercredi 20 mai 2020

Cluster COVID-19 de BBA

Le décès du Dr Wafa Boudissa a provoqué un vif émoi et un tollé sur les réseaux sociaux du Web. Son cas a été largement connu à travers le pays qui est livré à la gabegie. Et plus gravement le secteur de la santé, dont le management suppose qu'il est entre les mains de la pire incompétence, souffre d'une fuite des médecins et de pratiques approximatives qui sont partout répandues.
La population de Bordj avoisine les 800 000 âmes, dont un peu du quart se concentre au chef-lieu de wilaya. La maladie qui s'est déclenchée depuis la Chine et qui s'est éparpillée à l'ensemble des agglomérations et bourgades de la 34é wilaya d'Algérie, ne connaît pas de confins tant locaux qu'internationaux. Il suffit que les conditions s'y prêtent.

Est-ce-qu'il y a une explication rationnelle à l'arrivée du SRAS-Cov-2, le virus à l'origine de l'épidémie mondialisée du COVID-19, à Bordj ? Oui. La collectivité est à cheval entre les principales régions du pays, de même qu'elle est fréquentée pour ses activités économiques. Et la mobilité de sa population alimente la propagation.

Dès le début, Bordj s'est fait connaître avec les premiers cas. J'avais déjà diffusé l'alerte sur ce sujet, dès le 4 mars que vous pouvez conter ICI. Depuis beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. 

Les décès d'un infirmier, 
Kamel Maâref, âgé de 51 ans, du service de chirurgie à l’hôpital Bouzidi-Lakhdar à B.B.A. puis du Dr Boudissa, à Ras-El-Oued, secouent les esprits.

La jeune médecin était prioritaire pour bénéficier d’un congé exceptionnel ou même de son simple droit. Elle était enceinte de huit mois, le jour où elle rendu l'âme, le 15 mai.

Ses consoeurs et collègues lui avaient signifiaient un appui pour un repos qui d'abord son droit, avant qu'elle ait bien démontré fatalement quelle le méritait. Puis avaient fustigé, devant les caméras, les responsables de ce décès et exigé leur départ. 

Âgée de 28 ans,elle était employée aux urgences chirurgicales de l’établissement public hospitalier de Ras El Oued de la wilaya de Bord Bou Arreridj, à 200 kilomètres au sud-est d’Alger.
BBA en Algérie et Ras-El-oued dans la wilaya.Map of Algeria highlighting Bordj Bou ArréridjDZ 34 Ras El Oued.svg

jeudi 14 mai 2020

Arbitraire subi par Chérif Ghassoul à BBA

D'emblée, notons qu'il est emprisonné depuis quasiment plus de 8 mois, sans que la justice ait tranché pour son cas. Chérif Ghassoul a rendez-vous, encore une fois pour prolonger ses angoisses, avec les juges, auprès du tribunal de Bordj-Bou-Arréridj, le 21 mai.


Le précédent article publié sur Projet-BBA, que vous pouvez consulter ICI avait annoncé la tenue d'une instance le mai 13 mai. 
Mais voilà que nous apprenons de source bien vérifiée et entrecoupée avec d'autres émanations de l'information, que son affaire connait un nouveau report, au 21 de ce mois de mai.


Le procès de Chérif Ghassoul de Bordj-Bou-Arréridj est vraiment un cas d'école, en matière de dégradation des droits des citoyens.
Ce qui fait redouter, qu'à l'avenir ce genre d'arbitraire va s'accentuer à Bordj, à l'instar de toute l'Algérie. 
Et ce qui passe partout dans d'autres régions et villes du pays démontre clairement qu'un climat d'injustice est encore plus grave qu'au temps de l'ancien régime.
Ce prisonnier d'opinion est présenté devant le tribunal criminel, sans que ne soit vraiment expliquée sa situation qui traîne entre les mains de magistrats sans crédibilité, au regard de la lenteur.

#برج_بعريريج: تأجيل محاكمة معتقل الرأي "شريف غسول" ليوم الخميس 21 ماي 2020 أمام قسم الجنح لمحكمة برج بعريريج ، للذكر تم إعتقاله يوم السبت 24 اوت 2019 ، منذ ذلك اليوم و هو متواجد في الحبس المؤقت اي اكثر من 8 أشهر .

lundi 11 mai 2020

L'athlète Cherif Gassoul sera jugé mercredi prochain à BBA.

En réalité, il n'y a plus d'opinion libre en Algérie. De même qu'il n'y a plus de presse, ou de journalistes, vraiment habités de la bonne conscience professionnelle pour étayer la vérité. Sinon être indépendant des rouages et autres chapelles qui ont ruiné ce grand pays, il y le média qui sert et aide le citoyen qui le regarde avec espoir.

Y compris à Bordj, où personnellement en plein terrorisme au temps de la "décennie noire" (1989/2000) j'avais apporté toutes les vérités, avec mes articles sur Alger-Républicain, El-Watan et Liberté. J'avais comblé un déficit pour la couverture de beaucoup de faits importants. Comme ce jugement de cet administré victime d'injustice, sans que l'on parle... 
Chérif Ghassoul de BBA
- Précédent article : Le 16 avril 2020, 14 citoyens de B.B.A. seront jugés pour le Hirak.

L'arbitraire en Algérie abuse "d'ennemi à la patrie" collé à toute parole libre. Des citoyens sont envoyés en prison pour des accusations fallacieuses. Comme regroupement non-autorisé, ou appel à faire de telles manifestations, ainsi atteinte à la sûreté nationale, sont de vraies atteintes aux libertés démocratiques et citoyennes. 

Tel est le cas de Cherif Ghassoul, sportif d'esprit et engagé à entraîner des jeunes et former son propre physique, par l'haltérophilie et la body-garde qu'il pratique depuis des années. 

Donc c'est dans une indifférence intenable que ce prisonnier d'opinion de Bordj-Bou-Arreridj, est mis aux arrêts depuis le 24 août 2019, (certaines sources disent depuis le 26 septembre 2019) et sera jugé. Son procès se tiendra mercredi le 13 mai, auprès de la section criminelle de la ville où il habite. Alors que les correspondants locaux de la presse ne montrent pas leur communication, tellement ils demeurent dans la criarde médiocrité du mépris.

- Un autre sujet sur ce blog, sur le HIRAK : Hirak à Bordj : 51è Vendredi femmes & jeunes à l'assaut.

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Cherif Ghassoul est passé par la clinique pénitentiaire, dans un état de santé détérioré. Après une grève de la faim pendant plusieurs jours, il a perdu des kilogrammes, lui l'athlète. Une dégradation physique, suite à un recours, comme un coût de couteau car illégal, présenté par le procureur de la République, pour 7 accusations. Pour que quatre crimes et les trois délits, lui soient imputées, dans la parodie de justice de la pire manière avec laquelle s'illustrent le ministre Zeghmati et le pouvoir de Tebboune...  

Finalement seuls 2 délits, qui ne sont pas clairement déterminés, lui sont reprochés avec une insupportable approximation d'arbitraire. La programmation du procès du pour le mercredi 13 mai 2020 devant la section des crimes du tribunal de Bordj Bou arreridj, est très attendue par la population. Il est en prison temporaire depuis plus de 8 mois. 

Voici : Iyed, Mohamed et Anis, les 3 enfants de Chérif.

samedi 11 avril 2020

Le 16 avril 2020, 14 citoyens de B.B.A. seront jugés pour le Hirak.

Le jugement aura lieu le 16 avril 2020. Il ne faut pas qu'échappe à l'intention des habitants de cette localité, cette promulgation de sentence. Elle sera donnée à des justiciables qui n'ont rien à se reprocher. Au nom de la république et du peuple, notamment pour le compte des habitants de l'entité territoriale que beaucoup de ses enfants la servent d'une manière ou d'une autre, leur condamnation ne devait être faite avec l'excès de zèle et telle une mince affaire.

Vous trouverez à la fin de cet article les noms (en langue arabe) et quelques photos des concernés. 

Devenue un symbole dans le développement économique, telle même une capitale de l'industrie au niveau du Maghreb, Bordj-Bou-Arréridj est aussi connu, comme une pouponnière des révoltés et autres rebelles qui adoptent massivement les causes justes et qui ne manquent pas de significations.
On ne manquera jamais de rappeler que cette bourgade dut le principal fief historique de la mémorielle insurrection d'El-Mokrani en 1871. Et dont nous le 150ème anniversaire l'année prochaine.  
A cheval entre l'est et l'ouest ainsi que pour le nord et le sud de l'Algérie, BBA fut une école dans le parcours du mouvement nationale. 
Lors de la guerre de libération, pour laquelle ont été enfantés des hommes et des femmes, dont les noms sont gravés dans le marbre des plus forts et reluisant de l'Histoire nationale, l'empreinte est marquante. L'agglomération fut lieu d'escale de Si Larbi Benmhidi, d'Ibn-Badis, de Messali El-hadj, de Mohamed Boudiaf et de bien des personnages d'envergure inégalée dans les cumuls d'un pays allant au rayonnement, comme un épicentre des indépendances.
Je citerai, pour la gente féminine, Aïcha Hadad et Mouny Zioui qui, cette dernière, nous a quitté en 2019 à Alger, soeur du martyr Mohamed qui a donné l'appellation d'un stade de la capitale Alger. 
Et parmi les hommes, Abdelmadjid Aouchiche ou bien Chawki Mostefaï qui, même natif de M'sila, revient à cette ville dont l'urbanité édifie bien ses propres et belles légendes.
Jusqu'aux événements du Hirak dont le long souffle a parcouru les années 2019 et 2020, Bordj-Bou-Arreridj, à travers les actions de ses habitants, participe à la vie nationale. 
Et j'appréhende qu'à foison, dans les réseaux sociaux du Web, les discussions sont d'une richesse inouïe via les clubs et groupes du rapprochement qui se réalise entre les citoyens. 
Ils seront donc devant des magistrats, ces 14 citoyens qui seront jugés leur opinion assoiffée de liberté. Le jeudi 16 avril 2020 devant la section des crimes du tribunal de Bordj Bou Arreridj, l'affaire pour laquelle ont été déposés relève du mouvement de grande ampleur, auquel la mobilisation revendique une autre Algérie. Plus moderne, plus juste et plus mieux gérée.

 
       
 Les articles de POPULI-SCOOP sur le HIRAK ICI
Une autre histoire du Hirak, à Bordj. ICI
Et une autre, tout au début en mars 2019. ICI
1 شمس الدين لعلامي المدعو براهيم

2 عباش عبد الرزاق
3 عزالدين بن بلخير
4 بوطبة عزالدين
5عبد الحق شماني
6 توفيق ميسور
7 يازيد ميسور
8 زايد عبد النور
9 بلفروم نصر الدين
10 زايدي خير الدين
11 ناصر اربوش
12 بلال بورحلي
13 صيد خميسي
14-مقراني منير
15- مسينيسا

mercredi 4 mars 2020

Coronavirus à Birkasdali, ALERTE.

Voici une note interne de l'administration de la wilaya. Soupçon du 1er cas de #Coronavirus dans une commune #Birkasdali de #BodrjBouArreridj #Algeria image de l'alerte de la Wilaya.


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